Publié le 2 Novembre 2022

L'HISTOIRE DE TOUJOURS...

L’Histoire de Toujours…

(Avant, c’est une histoire de jours. Après, c’est l’histoire de Toujours…)         

Il y a deux grands malheurs : « Une vie sans amour et un amour sans vie » ; il y a deux grands bonheurs : « Vivre l’Amour et aimer la Vie »…

 

Quand tu écris, on te plagie ? Quand tu agis, on te décrie ?

Écris ta vie ! Crie tes envies ! Plus loin, tes cris seront repris !

N’aie pas d’pudeur pour tes fureurs ni même’ la peur de tes malheurs…

Si tu tombes’, c’est pour te rele’ver… Quand on s’arrête’ de vivre, on meurt !

Tu as mille erreurs au compteur, c’est le brouillon d’une’ vie meilleure

Mais toi tu erres’ dans tes erreurs et tu vois, ça, c’est une erreur !

C’est ton malheur où tu en pleures !

Il faudra bien te pardonner de jour en jour même’ si c’est lourd

Parce’ que finale’ment pardonner, c’est donner raison à l’Amour…

Les orgueilleux qui te ravagent’ confondent’ la rage et le courage’…

Ils t’envoient des messages’ de Paix et se f’ront passer pour des Sages ?

Les faux-sages’ ne veulent’ que briller ; les vrais veulent’ seul’ment t’éclairer ;

On a fini de se mentir où commence’ la sincérité !

Si on retrouve’ la vérité, c’est déjà parce’ qu’on l’a cherchée…

Si on a su la réparer, c’est qu’on a pu s’y préparer…

Comme à chaque’ fois qu’on la délivre, on s’y retrouve en équilibre :

Il n’y’a aucune’ liberté vraie sans qu’il y’ait de vérité libre !

On n’blâme’ jamais que du passé ; parfois on condamne’ le présent !

Et là on oublie pour l’ave’nir qu’il permet toujours un change’ment !

Mais c’est souvent comme’ ça !

C’est jamais vraiment toi qu’on juge’, c’est toujours ce qu’on pense’ de toi !

Essaie de bousculer tes lignes’ si tu veux changer ton carma :

Les succès qu’on a remportés sont des modèles’ à imiter ;

Les épreuves’ qu’on a surmontées font des leçons à partager 

Mais les chances’ qu’on n’a pas tentées sont celles’ qu’on est sûr de rater !

On va te d’mander d’où tu viens. Toi, cherche à savoir où tu vas !

Sois la meilleure’ version de toi ! Qui s’en amuse’ abuse’ de toi !

Quand tu partage’ras’ tes voyages’, au fil des âges’, tu comprendras

Que les progrès sur ton parcours ouvrent la voie pour plus que toi !

Qui sait que réussir sa vie, c'est avoir appris à l'aimer

Jusqu’à même’ pouvoir la revivre’ sans l’ambition de tout changer ?

C’est parfois facile’ de mourir quand c’est plus difficile’ de vivre !

Pourquoi chercher à en finir sans chercher ce qui nous délivre ?

Si tu tombes’, c’est pour te rele’ver ; si tu doutes’, c’est pour te surprendre !

Si tu n’sais pas, c’est pour savoir ; si tu t’égares’, c’est pour l’apprendre !

Si tu apprends, c’est pour comprendre !

On peut apprendre’ sans comprendre’ mais… on n’comprend que d’avoir appris ;

Fuir un ennui réduit ta peine’ mais ça n’réduit que tes soucis !

La quiétude est pour ceux qui n’s’posent’ qu’après avoir osé leurs rêves.

Mets pas un stop à tes envies avant même’ que ton temps s’achève !

Tes origines’ sont tes racines’ mais ta sève est dans c’qui t’élève

Et l’amour fera ton parcours si chaque’ jour, c’est lui qui t’relève…

On a toujours l’âge’ de rêver tant qu’sa folie n’est pas trop sage :

Jamais trop vieux pour rester jeune ! Eh ! la vraie jeunesse’ n’a pas d’âge !

Le temps, c’est pour faire avancer ; sa vitesse’, pour le supporter…

Vieillir nous fabrique’ le passé ? La jeunesse’ reste… à emporter…

L’ave’nir appartient aux lève’-tôt mais le présent nous tient debout…

A r’passer des films en soirée, on devient des couche’-tard surtout…

J’n’ai pas bien vu passer les ans, ni même’ les jours, depuis longtemps !

J’suis un passeur de sentiments et j’passe’ des heures’ en les contant…

Mon âme a l’âge’ de la passion que j’vous partage’ tant qu’je suis fort

Comme une’ caution, une’ succession, un héritage’ hors de mon corps !

C’est l’seul trésor que j’veux laisser même’ si le décor va changer ;

C’est pas de l’or qui peut l’ache’ter ! L’argent n’empêche’ pas d’être âgé…

Prospérité, postérité ? En faire’ des tonnes’ pour quelques tunes ?

Est-ce’ que l’enfer brille’ comme’ la lune ? Eh oui ! de loin ! mais sans fortune !

On fait quelques choix dans la vie ; quelquefois on s’fait des frayeurs :

Soit le profit est ton défi, soit la valeur est ton moteur.

Quelle’ voie est pour toi la meilleure ?

Celle’ qui passe à travers ton cœur !

On n’est pas fort de son confort ; on est fort de ses réconforts ;

Est-ce’ qu’on a l’art de sa tendresse ou bien les larmes’ de ses remords ?

Les beaux souve’nirs et les espoirs, au bout d’une’ vie’ sont comme un phare ;

Dans le noir et dans le brouillard, ils éclairent’ toujours nos regards…

Rien n’peut m’étonner davantage’ que d’« jamais s’étonner de rien » !

Tu sais, parfois j’m’étonne’ moi-même’ de m’étonner pour beaucoup moins…

J’n’aurai jamais trahi ma Foi : ma foi en mieux… ma Foi en Dieu !

C’est mon sort en somme’, d’être humain : je reste un mortel amoureux !

Un être humain peut exister avec ou sans humanité !

Mais être humain, c’est résister à l’humaine inhumanité…

Quand des idées te contaminent’, elles’ te volent’ ton identité ;

C’est quand l’opinion te domine’ que tu oublies ta dignité.

Te laisser guider par les mots transforme en troupeau ta pensée…

Or sa révolte est ta récolte’ quand tu limites’ ses qualités !

‘Y’a jamais d’authenticité sans liberté de s’exprimer.

Des juge’ments ont pu te tromper ? Toi aussi, tu peux te tromper ;

Savoir tes torts te rend plus vrai ; les corriger te rend plus fort !

Depuis la nuit des temps, en vrai, mille’ convictions s’affrontent’ encore ;

Tous les mensonges’ prospèrent’ dans l’ombre’ ; la vérité prend la lumière ;

Être un combattant de Justice’, c’est c’qui nous rend la voie plus claire.

J’ai gardé l’âme’ d’un chevalier ! C’est un choix qu’je n’ai pas renié !

Et je préfère’ toujours la Paix aux batailles’ de tous les guerriers.

Je préfère’ réparer la Paix, que préparer la guerre’ d’abord…

J’aurai toujours des mots d’amour pour contrer le mal et la mort.

On crie sa rage, est-ce’ du courage’ : quand on rue est-ce’ qu’on évolue ?

Qu’est-ce’ qu’on y gagne’ dans les orages’ ? La plus-value d’une’ pluie voulue ?

Qui confond la force et l’effort confond la conquête et la quête !

On peut gagner sur ses défaites’ car la victoire est dans la tête :

Quand il fait sombre, on voit l’éclair ; quand il fait clair on voit les ombres…

La qualité des jours sur terre’ n’est jamais une affaire’ de nombre.

La vie nous fait faire un voyage où l’imprévu est prévisible

Et la sagesse’ d’une’ vie, c’est VIVRE une’ vie paisible où c’est possible !

Moi je n’voudrais rien partager que du bonheur à cultiver

Parce’ que partager du bonheur, c’est toujours le multiplier.

J’offre mon cœur à fleur de ciel, je n’me noie pas dans les honneurs !

Dans l’univers concurrentiel, on n’voudrait qu’être le meilleur…

Qui n’voit de joie que dans la gloire’ ? Qui n’voit d’honneur que d’être un roi ?

Tu es parti de quelque part avant d’arriver, souviens-toi !

Souviens-toi : pour ta dernière’ marche’, tu as dû faire un premier pas :

C’est le premier pas qui entraîne’ les millions d’autres’ que tu feras… 

Là, pour atteindre l’arrivée, garde la flamme’ de ton départ !

Comprends que la trame’ du succès est composée d’un fond d’espoir…

La place’ que t’as faite à tes doutes’, tu l’as volée à ta confiance ;

Surestimer ce qu’on redoute’, c’est un boulet sur sa conscience !

 

Est-ce’ qu’on voudra se libérer de ses chaînes’ et de ses problèmes ?

Il faut parfois quitter quelqu’un pour mieux se retrouver soi-même…

Mais qui te lâche’ sans qu’tu l’mérites’ ne te quitte’ pas ! Là, il te perd !

Si tu laisses’ faire’, c’est qu’tu l’espères’ ? Si tu galères’, c’est toi qui perds !

 

Je fais ça : j’détaille’ mon journal. Il y’a des jours où tout va mal !

J’ai mis mon cœur dans la Bataille’ dans ce monde où l’mal est normal…

 

C’est la doxa qui te rassure’ : « Plus jamais ça ! », c’est l’imposture !

Si des mensonges’ t’entourent’ de murs, leurs fêlures’ t’offrent’ une ouverture.

Eh ! les mensonges’ ont la vie dure’ mais ‘y’a qu’la vérité qui dure !

Vis ton histoire’ sans amnésie : sur ses bancs, tu restes’ un élève !

Mets pas un stop à tes envies avant même’ que leur temps s’achève !

 

 

On apprend parfois sans comprendre

Mais… on n’comprend rien sans l’apprendre !

Par manque’ d’amour, ce monde est incendiaire

Et pourtant sans lumière’, ce monde est sanguinaire !

C’est un manque’ de lumière’ qui allume’ mes colères

Que j’transforme en prières.

Je fais partie d’une’ société qui cache un argent sale

Sous un vernis qui brille et tous ses bidonvilles

Derrière’ ses cartes’ postales…

J’n’aurai pas l’âme en peine’, j’ai plutôt l’âme en paix !

Le monde a la beauté de l’amour qu’il inspire et j’me sens inspiré

A jamais, pour toujours, c’est c’qui m’fait respirer…

Je vis encore’ car… aimer, c’est vivre et vivre, c’est aimer !

J’ai perdu des bonheurs,

J’ai gardé un bon cœur

Et sans rancune… A la bonne heure !

Quelques lacunes’ mais pas d’rancœur ;

Aucune’ rancœur pour mes malheurs !

Toi n’aies pas peur

De tes erreurs…

Si tu tombes’, c’est pour te rele’ver… Quand on s’arrête’ de vivre, on meurt !

Je suis passé par là…

J’avance’, tu vois ! C’est le bon choix…

Toutes’ nos montagnes’ de peines’ font nos vallées de larmes

Mais nos feux d’joies sèchent’ nos paupières’, éclairent’ nos âmes ;

C’est toujours ça

Et moi pour ça

J’écris l’Amour…

Je crie l’espoir…

C’est mon histoire’, ma seule’ victoire…

 

Pour l’univers… et pour Toujours !

 

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Rédigé par Jean-Pierre B

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Publié le 29 Août 2022

ELLE & LUI...

M+JB = Elle et Lui…

 

« Elle…

On s’rappelle’ d’elle’, d’avant peut-être’ ? La voilà si belle avec lui !

Lui…

Il la voulait de tout son être ; il est tout près d’elle aujourd’hui !

Il en est passé des années : 1000 ans d’attente, 8, d’harmonie…

C’est assez, depuis qu’ils sont nés, pour qu’ils découvrent’ un paradis :

Un lieu solaire’ malgré la pluie, à cent pour cent sans parapluie !

Mais qui s’rappelle’ : « Louis Vincent », milieu scolaire’, d’autres envies ?

 

Elle a souri ! Il fut conquis et dans ses yeux, ce sourire’ luit !

Il a mis’ plein d’feu dans sa vie et sa vie ne s’passe’ plus de lui !

Elle est pudique ? Oui, mais rebelle ! Il est stoïque’ ? Mais pas sans elle !

Il est unique, oui ! mais pour elle et son monde’ gravite autour d’elle…

C’est son héros, son chamallow (son chat, Mallau…) ; un peu d’douceur dans c’monde’ de ouf !

Il est son air ! Lui, c’est ballot, trop loin d’son cœur, le sien étouffe !

 

Elle a mis’ ses yeux dans ses yeux et ses yeux ne brillent’ que pour elle !

Toujours à deux pour être heureux ! Deux tourtereaux vraiment fidèles

Volent’ à tire’ d’aile’ vers leur ave’nir. Qu’il soit meilleur et jamais pire !

Leurs tensions sont des bagatelles’ ! Leur Bonheur est ce qu’ils respirent.

Comment dire ? Ils sont magnifiques’ ! et leur mariage est si magique.

Alors, oui ! Trêve’ de bavardage’ ! pour l’entourage’, c’est très logique :

 

C’est aussi fort qu’un bouquet d’flammes’ ! Leur union, c’est tout un programme

Pour deux amoureux, corps et âme’, sous les lampions en plein vacarme !

Pas d’bile ! ils sont bien dans leur bulle à l’heure’ du bal, lui et sa belle,

Entre un alcool, une’ farandole’, les babils d’une’ tour de Babel,

Leurs regards pleins d’complicité se devinent’ dans l’obscurité :

Ils sont le phare’ de la soirée qui ravit tous les invités.

 

On bat des mains, les cœurs aussi, alors la fête’ bat tout son plein.

Sous les flonflons, les gens s’éclatent’ puis… ils repartent’ vers le matin…

 

Là tout s’éteint ? Pas leur amour !

Qu’il dure à jamais et toujours !

Ils étaient 2 mais aujourd’hui

Ils sont 1dans leur paradis ! »

 

Voilà, en bref, c’qu’on pourrait dire’ pour votre beau jour de mariage.

C’est un peu bateau, c’est rétro, et ce s’rait presque un peu trop sage.

Alors, voilà ce que j’en dis :

 

(A jean-Baptiste et Mallaury)

 

« Restez unis ! »… Oui, c’est vite’ dit, mais ce sera comme un défi !

Et parfois ce défi suffit à mieux partager toute une’ vie.

Vous n’êtes’ qu’au début du parcours ; le grand parcours de votre amour…

Vous n’touve’rez pas le temps trop lourd tant qu’il pourra sembler trop court…

Voilà, tout ça, c’est votre histoire !

Et en ce jour on a pu voir…

Jusqu’à très tard, dans la nuit noire…

Tout plein d’étoiles’ dans vos regards !

On n’en aura jamais assez !

Mais… tout ça est déjà passé…

Pour toujours, avec plein d’espoirs,

Dans nos cœurs et dans nos mémoires…

 

 

Restez toujours deux AMOUREUX !

Pour le MEILLEUR et pour le MIEUX !

DEUX pour une’ VIE ! Une’ VIE pour DEUX…

(Voire’ plus nombreux ?)…

 

Soyez HEUREUX !

 

20-21 Août 2022… etc. etc. etc.

                                                                                              A Mallaury et Jean-Baptiste

Autre blog : http://jean-pierre-aimer.blogspot.fr/ 

 

 

ELLE & LUI...

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Rédigé par Jean-Pierre B

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Publié le 19 Août 2022

PLUS BELLE LA FRANCE !

Plus Belle la France !

(La France ne doit pas disparaître !)

 

‘‘Y’a trop longtemps qu’ça dure !

 

‘Y’a trop d’gens qui le défigurent’ ! Trop longtemps qu’on l’caricature !

Mon pays n’est pas sans ratures’ ? J’le donne’rai jamais en pâture !

Sa bannière’ m’éclaire’ comme’ l’éclair car dans l’noir, j’peux voir sa lumière…

Et ses victoires’ sur nos misères’ dans l’Histoire’, j’en suis encore’ fier !

 

Oubliez ses missiles’ sol-air et voyez ses missives’ solaires !

Leur message est juste exemplaire : il est toujours humanitaire !

La gloire’ peut prendre la poussière’ mais toute’ victoire est un repère !

Est-ce’ que vous oubliez vos pères’ après qu’ils ont gagné vos guerres ?

 

Qui rejette aujourd’hui la France’ dans ses souffrances’ ? Pour ses malchances ?

Qui lui pardonne’ra ses outrances’ quand ce sont les nôtres’ qui l’offensent ?

La France a tant de visiteurs. Combien a-t-elle’ de détracteurs ?

On n’imagine’ pas sa valeur ! Parfois j’l’admire en spectateur !

 

Combien prétendent’ l’aimer de loin, loin de l’aimer en vérité !

Et si la France’ les a aidés, combien vont plaider pour l’aider ?

Combien d’« amis » l’ont mise à prix ? Combien l’ont prise’ pour un podium ?

J’aime’ la France en âme et en Homme’ ! J’en f’rai jamais mon décorum !

 

Que font les Français matrixés lorsque la France est menacée ?

La France éteindra les brasiers qui n’ont pas cessé d’l’embraser…

Eh ! Le ravage’ de Notre Dame’ livrait déjà la France aux flammes !

Cet enfumage est notre drame’ qui voudrait nous priver d’une âme !

 

La France est secrète et complexe. Elle exalte une’ pudeur cachée…

Paradoxale ! On est perplexe ? Il faut savoir la dénicher !

‘Faut la sortir de ses clichés sans chercher à les afficher !

J’finirai jamais d’la chercher toute’ ma vie pour la défricher !

 

Moi, ma France’ n’est pas celle’ des mythes’ mais c’est celle’ pour laquelle’ j’milite !

Vois ! ma France’ n’est pas sans limite’ sauf qu’où j’vis, partout elle existe !

Si j’y pense hors de ses frontières’, c’est chez elle’ que j’vis sans ornières !

Elle’ n’est pas l’pays d’mes grands-pères’ ni d’ma mère’, non ! mais c’est ma terre !

 

Rien n’est jamais vraiment binaire, à part pour un esprit sectaire.

Il y’a la France’ des réfractaires’ comme il y’a celle’ des tortionnaires…

Militants sous l’occupation, collabos sans obligation ;

Compagnons d’la Libération, corrompus en pleine ascension ;

 

La France’ des réseaux solidaires’ mais des héros qu’on n’attend pas ;

La France’ des causes’ égalitaires’ qu’on n’oublie pas sous les tonfas !

Le choix de ceux qui n’s’en vantent’ pas comme’ de tous ceux qui l’osent’ et croient :

Des Hommes’ de Droit, des tonnes’ de lois ; des couvre-voix, des porte-croix…

 

Entre’ M’Balla et Benalla, ’y’a des vendeurs et des vendus !

Qui vend la France’ n’est pas français ; qui veut l’ache’ter l’aura perdue !

Qu’est-ce’ qui perdure au fond des cœurs de nos erreurs et nos regrets ?

Qui s’entend avec la terreur ne la voit jamais d’assez près !

 

Tout n’est jamais si radical ! Le mal est caricatural… 

‘Y’a des sommets de dossiers sales’ en pleines’ campagnes’ électorales

Mais ‘y’a encore’ des esprits clairs assez libres’ ou en équilibre

Pas sur le même embarcadère ! et ‘y’a une’ France’ qui reste à suivre :

 

Une’ France’ rebelle et bien réelle’ se réveille’ de son grand sommeil

Et de bravades’ en barricades’ peint ses drapeaux d’un rouge’ vermeil,

D’un blanc très pur, d’un bleu d’azur ! C’est cette’ France’-là qui nous rassure !

Entre blessures’ et flétrissures’, on n’mesure’ pas sa démesure !

 

Ma France est faite’ de différences’. Son état civil est ma chance 

Car nos différences’ font la France et c’est c’qui fait sa différence !

Comment n’pas voir cette évidence’ comme’ l’état fragile’ d’une balance :

Le dosage est parfois subtil ; l’arrogance affole’ ses nuances…

 

Ici on n’vit pas comme’ les autres’ : on vit avec ou à côté

Des qualités sous ses défauts, des défauts sous ses qualités.

C’qui fait l’unité des Français, c’n’est jamais l’uniformité :

Égalité, Fraternité ? C’est mieux qu’un jeu de société !

 

Une’ France’ d’en haut vit l’opulence ! Une’ France’ d’en bas vit dans l’pétrin ?

Est-ce’ que la France en concurrence’, ce s’rait De Gaulle’ contre Pétain ?

En France’, l’urgence est versatile’ pour mille’ conflits sous mille’ contrats !

‘Y’a toujours la France’ de Mera… celle’ des ultras, des magistrats.

 

Elle est variée par ses mariages’ ; elle est mariée à ses rivages ! 

Elle est vantée pour ses villages’, enchantée dans ses paysages ;

C’est toute’ la Terre’ qu’elle a conquise au passage’ par son héritage…

Sa folie n’est jamais soumise’ ; son génie n’est jamais trop sage.

 

Elle invite’ le monde à sa table’ pour ses recettes’ originales,

Pour toutes’ celles’ qu’elle a sublimées, qui font sa renommée mondiale !

Un grain banal devient royal : un art subtil, un style’ spécial ;

Le bon vivre a sa capitale où l’excellence est ancestrale.

 

C’est mon premier choix culturel : ma nature’ zen ; ma culture’ reine…

J’y suis fidèle, amoureux d’elle’ : moi, la France’ me coule’ dans les veines

Et j’ai mon soleil sous son ciel ; son essence est mon essentiel.

J’ai besoin d’ailes’, j’ai besoin d’elle’ pour m’sentir un peu moins mortel.

 

Elle est gothique. Elle est celtique. Elle est romane, elle est romances.

Elle est laïque, assez sceptique’, catholique’ depuis sa naissance !

En BD elle est Astérix ; à l’école’, Vercingétorix…

Elle fut détruite’ par trop de rixes’ mais elle’ renaît comme un Phénix.

 

On peut la vivre en file’ d’attente, en dilettante, en poste’ restante ?

Qui voit la France’ comme une’ parente un peu distante ou transparente ?

Qui aime’ la France’ comme une’ chimère’ ? Tiens, merci ! moi, j’l’aime’ comme une’ mère…

J’l’imagine’ pas dans un cime’tière ou le ventre à terre’ sous ses pierres !

 

Par tous ses chants qui m’ont bercé, pour tout le sang qu’elle a versé,

Quand ses champs d’mines’ font mille’ calvaires’, ses colères’ défont mille’ pavés.

J’parie sur elle’ quand elle’ se perd et j’me noie quand elle’ se tarit :

Sans cette’ source, où serait ma vie ? Sans la Seine, où serait Paris ?

 

C’est ma douleur quand son cœur saigne’ mais c’est sa peine’ qui m’y ramène.

N’en jetez plus ! Ma coupe est pleine’ d’injures’ malsaines’ qui la malmènent !

On la meurtrit par ses fractures’ et l’imposture’ qui la parjure

Mais moi, j’la porte en devanture’ comme une armure ou une’ parure.

 

Ce pays est occidental ? Accidentel ? Providentiel ?

Pays d’un scandale abyssal : des kyrielles’ de prises’ démentielles ?

Pays du Lys puis d’un Roi mort, assez bravache’ mais plein d’panache ?

Comme une’ malice, un oxymore’ : lorsqu’il est Libre, on s’y attache !

 

Si la France’ ne t’a pas vu naître’, toi n’y vois ni honte’ ni mal-être !

Elle’ t’offre un toit ? C’qui compte’ peut-être’… c’est d’le voir jamais disparaître !

On est français par engage’ment sans qu’on l’soit même’ de père en fils.

Sans sacrifice’ ni dévouement, on n’en s’rait jamais les complices…

 

On est Français par adhésion, plus sûre’ment que par filiation.

On l’est vraiment par conviction ; on fait semblant, par ambition !

Dans les miroirs de sa mémoire’, la France’ n’a pas que des ancêtres :

Bah ! nous sommes’ tous fils de Clovis quand on s’est engagés à l’être !

 

Depuis l’enfance’, moi mon cœur danse à la cadence’ d’un air de France

Mais c’est les haines’ qui la gangrènent’ et j’ai souffert de sa souffrance !

Où est la France’ de mes vingt ans qui m’promettait le firmament ?

Et la France’ des « mistrals gagnants », quel vent l’entraîne’ dans ses tourments ?

 

Elle s’est battue par tous les temps… après l’orage’ vient l’éclaircie !

De combattus en combattants, merci à Jeanne et Saint Louis… 

Depuis l’temps qu’elle a traversé ses rideaux d’fers et ses enfers…

‘Y’a longtemps qu’elle a dépassé tant de barrières’, de plafonds d’verre…

 

Paraît qu’c’est un pays d’râleurs ? On n’est pas tous du même’ bateau !

‘Y’a des radeaux’ et des galères’ mais ‘y’a tous ceux qui en veulent’ trop ;

‘Y’a des valeurs et des valets ! ‘Y’a des violeurs dans leurs châteaux.

‘Y’a des voleurs dans les affaires’ et des videurs de caniveaux.

 

C’est juste’ le contraire’ de la France’ ! C’est c’que des conteurs veulent’ en dire ;

France infidèle’ ? Sacré bordel ? France’ du meilleur ou France’ du pire ?

Des résistants aux partisans, on est divisés pour longtemps ;

De collabos des grands labos, en réticents du Grand change’ment…

 

‘Y’ jamais eu de précédent, ni d’présidents si prédateurs !

Mais notre ave’nir se joue mainte’nant : ‘faut dégager ses fossoyeurs !

Le pays des diversités, c’est aussi celui des cités ?

Comme’ Cyrano l’aurait bien dit : « C’est un peu court, mon jeune ami ! »…

 

Ce pays m’était désigné ou bien j’ai dû m’y résigner ?

Vivre en France’, j’l’ai pas décidé mais, d’avance’, j’l’aurais désiré !

Déterminé à y rester, j’me perdrais pour la retrouver,

Cette’ France’ de Trenet qui renaît dès qu’un Français peut la rêver…

 

Quand j’m’éloigne’ trop de ce pays, j’me sens comme’ loin de moi aussi !

Eh ! la France’ fait partie d’ma vie, comme un jour Polnareff l’a dit !

Pas une’ France’ sans extravagance’ mais la France’ de toutes’ les mouvances…

Quand il écrit sa « Lettre… » en transe’, c’est à cette’ France’-là qu’il repense !

 

Qui la gouverne’ juste à distance’ ? Qui n’la voit que sur une’ mappe’monde ?

Mais sous nos dernières’ présidences’, qui veut l’amalgamer au Monde ?

Si j’me déplace’ partout dans l’monde’, j’m’éloigne’rai jamais d’elle’, je pense !

Rien n’la remplace une’ seule’ seconde et j’repense’ toujours à la France !

 

On aime’ la France’ qui nous instruit ou celle’ qui n’est plus qu’un produit ?

En vrai, la France’ nous a construits ! Qui la déconstruit aujourd’hui ?

Quand je fréquente une’ pharmacie, c’est Big Pharma que j’enrichis ?

Si des poisons sont hors de de prix, qui rembourse’ les vraies thérapies ?

 

J’vois des Français en addiction face à tell’ment de prescriptions

Lorsqu’eux n’voient pas les corruptions derrière’ les pires’ interdictions.

C’est la raison d’un vrai combat et seule’ la France’ nous y ramène !

Si parfois je n’sais pas comment, je sais vraiment pourquoi j’le mène !

 

Je n’me bats pas seul’ment pour moi mais pour qu’la France existe aussi !

Le pire exil que l’on connaisse’ ne nous éloigne’ pas d’un pays…

Il nous éloigne’ de ce qu’on aime’, de ceux qu’on laisse et de nous-mêmes.

Et j’l’aime’ tell’ment ma terre’ de France, à travers ses travers, je l’aime !

 

J’n’ai pas besoin d’aller en Inde, à Tombouctou, à Katmandou

Pour l’aimer au retour surtout ; la France’ me manque’rait de partout !

J’n’ai pas prévu d’faire’ ma valise’ parce’ que le pays est en crise !

La France est ma première’ balise et j’me perdrais si j’la méprise !

 

J’ai vécu des « campagnes’ de France’ » ; mers de fureurs et gouffres’ amers …

Des avalanches’ de dissonances’… et des prières’ en plein hiver…

Mais j’reste au chaud là sur ses terres’… J’bois ses rivières’, j’respire’ son air.

‘Y’a pas d’mystère’, c’est mon repaire’ ; j’m’y sens moi malgré mes revers…

 

Est-ce’ que j’pleure’ de la voir si belle’ ? Si la France’ meurt, j’meurs avec elle ?

Qui a déjà pu se dire’ ça ? Pas moi car j’la sens éternelle !

Ici, le langage’ vous sublime’ ; les mots vous disent’ c’qu’on ne dit pas ;

C’est toujours une’ mise en abime’ qui nous précise’ c’qu’on n’entend pas…

 

On devient Français par passion

En tout cas pas sans conviction.

On l’est parfois par sacrifice’…

On n’l’est jamais par artifice !

L’Italie est jolie,

L’Angleterre est austère

Mais la France est une’ chance ;

La France’, c’est l’élégance !

Les gabe’gies font des nostalgies ?

La France’ demeure un beau pays

Malgré le mal qui la trahit…

Son dernier mot, elle’ n’l’a pas dit !

Ce pays saura son Histoire ;

La France’ verra d’autres victoires !

La France’ rebelle’ reste si belle !

Elle’ peut faire encore’ parler d’elle !

C’est notre « exception culturelle »

Qui est encore exceptionnelle.

En toute’ saison, même en hiver,

La France éclaire’ mon univers.

Sa mémoire est faite’ de lumière :

Elle’ n’prendra jamais la poussière !

Ce pays aime’ra son Histoire’.

La France’ vivra d’autres victoires !

Le monde entier pourra s’y voir !

Alors le monde’ pourra y croire !

Où est passée notre belle’ France ?

Elle est bien là, libre et immense…

En dissidences’, en connivences ;

Dans les replis de son drapeau ;

Avec toutes’ ses couleurs… de peau

Et aussi ses couleurs

De cœurs !

 

De Versailles’ au Mont Saint-Michel,

D’une’ France’ plurielle’ sur mille échelles

A notre France universelle…

C’est le plus beau pays du Monde ?
La réponse est à l’intérieur !

 
See it! The most beautiful country 
in the world…
Say it! In a thousand as in a simply 
single word…

 

 

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PLUS BELLE LA FRANCE !

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Rédigé par Jean-Pierre B

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Publié le 11 Juin 2022

JE VOUS LANCE UN CRI...

Je vous lance un cri !


Un cri de larmes’, un cri de peine…

Contre la violence assassine’… Contre la haine’, dont chacun voit où elle’ nous mène…

Je lance un cri contre l’Ego… qui nous a faits tous inégaux…

Contre les nantis, les « pas bons »… que nos faiblesses’ ont rendus forts…

Pour les arbres’ et les animaux qu’on massacre ou qu’on a blessés…

Qui ont « trop mal » mais pas de mots !

Je crie ma fureur contre ceux qui ont rempli tant de cime’tières ! 

Pour les bonheurs qu’ils ont fauchés… même en pleine’ course

Ou à la source…

Eux qui ont fait de notre terre un champ de guerres’ et de misères…

Contre eux, j’ai des chants, des prières’… mais des colères’ et puis j’espère 

Qu’il leur reste un coin de lumière au fond de leur âme aussi sombre

Qu’elle est fautive’ de tant de drames.

J’ai le cœur lourd de ces malheurs ! J’en pleure’ car je sais qu’on en meurt !

Je souffre aussi puisqu’on oublie 

Parfois… 

Et que parfois on s’habitue

A ces douleurs qu’on ne voit plus que sur des pages’ ou des écrans qui nous invitent’ au quotidien sans qu’on puisse y joindre des mains….

Je souffre avec vous, c’est certain ! vous qui n’avez pas renoncé à dénoncer les injustices 

Et les mensonges’ et les supplices.

Pour les petits, contre les « grands »

Et pour tous les êtres’ enchaînés à tous leurs maîtres déchaînés qui ont mis le monde à genoux, 

J’ai des pensées qui me relèvent

Et j’ai des peurs mais j’ai des rêves !

Et pardon pour ma « poésie » : c’est comme’ ça que j’entends mon cri

Qui me vient du cœur de ma vie…

Pardon pour la rime’ qui m’anime !

C’est sans calcul ! C’n’est pas d’la frime…

C’est mon combat contre leurs crimes

Et c’est pour ça que je suis là ! Alors d’accord ! C’est ma passion ???

NON !

Juste un élan de compassion et que je partage avec vous… 

Pour les vivants et pour les morts dont la lumière existe encore…

Et qui jamais ne s’éteindra… Pour ce chagrin et leur mémoire…

Pour St François, Mère’ Teresa… 

Sœur Emmanuelle’… l’Abbé Pierre,

Martin Luther et ces Coluche’ qui ont gravé leurs noms en nous

Et qui nous redonnent’ tous les jours leur exemple et un rendez-vous

Avec l’Espoir 


Et pour nous tous !

PS : La vérité sur Wikipédia & sur le complotisme… https://m.kla.tv/fr/2023-02-19/25173

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Rédigé par Jean-Pierre B

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Publié le 29 Décembre 2021

LA BEAUTÉ DU PARCOURS...

La Beauté du parcours

(L’essentiel…)

 

Tu viens de perdre un bel amour ? Pas si beau si tu l’as perdu !

C’est pour ça que tu t’serais pendu ? Et l’Amour t’aurait survécu !

« Vois tes jours sous un meilleur jour ! »… « On n’a qu’une’ vie… », c’est c’qu’on te dit !

Et moi j’te dis juste en ami que rien n’finit qu’avec la vie.

Tu m’cries qu’ton chemin serait pourri 

Comme un parcours de combattant

Et qu’ton carma en sort perdant…

 

C’qui compte’, c’est bien plus qu’un parcours… Le parcours s’ra toujours trop court

Ou bien trop long quand il est lourd ! Il passe’ra comme’ passe un discours :

« Voir les jours sous un meilleur jour ! » : c’est juste un élément d’langage 

Comme un adage un peu trop sourd où tu n’vois la clé d’aucune’ cage !

Ça n’remplit jamais tes bagages’. C’qui compte’, c’est c’qui te rend plus sage :

Savoir qu’on est tous de passage et qu’on n’a jamais le même âge,

Qu’on peut survivre à des naufrages’, que ton temps n’est rien qu’un voyage

Mais que c’est toi qui l’auras fait ! Regarde’ le bien… d’un peu plus près !


Un bonheur n’est jamais parfait

Et pourtant plein d’amour le fait !

Mais « plein », l’amour ne l’est jamais, 

Au contraire ! et tu sais qu’c’est vrai !

 

Quand on a squatté ses lumières’, on apprend le meilleur d’une’ vie…

Dès qu’on a mieux scruté ses ombres’, on comprend ses mystères’ aussi !

Tu as toujours un temps d’avance’ sur le sens de ton existence ;

Tes échecs font d’la résistance’ ? Tes succès feront ta confiance ! 

S’il le faut, aide’-moi à t’aider à porter un peu d’ce fardeau

Dans ton cœur là, et sur ton dos… quand parfois il te pèse’ra trop !

On associe le plus souvent les regrets aux années passées ?

Ton ave’nir est ici, mainte’nant ! Oublie qu’tu penses’ y renoncer !

 

Un bonheur n’est jamais parfait

Et pourtant plein d’amour le fait !

Plein d’amour, il n‘y’a rien d’plus vrai… 

Rien d’plus clair ! quand tu l’sens tout près !

 

C’qui fait l’moteur de ton parcours, c’n’est jamais ton désir de fuir

Et pas même’ celui d’en finir mais plutôt celui d’l’accomplir !

C’qui fait la beauté d’un amour, c’est ni sa quête’ ni sa conquête ;

Est-ce’ que l’plaisir de faire’ la fête’ commence avant qu’on s’y arrête ?

Or ton bonheur vaut mieux qu’une’ fête : il t’assure’ des lende’mains heureux !

On l’sait quand on est amoureux ! et « amoureux », c’est c’qu’on fait d’mieux !

Aimer, c’est plus que rencontrer ! Aimer, surtout, c’est partager !

C’n’est pas aimer avoir envie mais juste avoir envie d’aimer !

 

Un bonheur n’est jamais parfait

Et pourtant plein d’amours l’ont fait !

Plein d’amour, il n‘y’a rien d’plus vrai…

Rien d’plus clair ! quand tu t’y sens prêt !

 

Dans les fêtes’ comme’ dans les défaites’, un bonheur n’est jamais parfait.

C’qui compte’ en fait, c’est c’qu’on en fait ! et c’est c’qu’« avant » devient… « après » !

On associe le plus souvent les regrets aux années passées.

On oublie souvent de penser que l’ave’nir reste à inventer !

C’qui compte’, c’est c’qui t’rend du courage’ : savoir que tout n’est qu’un passage

Et qu’on n’a jamais le même âge’, qu’on peut survivre à ses naufrages !

« On n’a qu’une’ vie… », c’est c’qu’on te dit. On n’te dit pas où elle’ finit ;

Le plus important est toujours c’qu’on fait du reste de sa vie.

 

Un amour n’est jamais parfait ! Ta vie non plus ! Rien n’est parfait !

Mais l’Amour le sera toujours !

Vois c’qui compte entre Terre et Ciel 

Car c’qui compte’, c’est ça l’essentiel !

 

Un bonheur n’est jamais surfait

Quand c’est sur l’Amour qu’il renaît !

Un amour ne s’ra pas parfait 

Mais c’qui compte’, c’est qu’il reste vrai !

 

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Publié le 19 Octobre 2021

SUR MA PLANÈTE...

Sur ma planète…

A ma Scarlett… Pour le meilleur et pour le pire…

 

C’est pas que ça m’inquiète 

Mais j’me sens déconfit  

Et j’ai perdu la tête !

Mes rêves’ sont circonscrits…  

 

Ici, sur la planète,

Ah ! Je n’sais pas comment

J’ai perdu ma Starlette

Et je la cherche aussi…

 

Sous mon rideau de larmes,

Elle est là, elle’ sourit !

Sa photo a du charme

Et mon cœur est conquis !

 

« ‘Y’en a pas de plus belle 

Et vu qu’‘y’en a pas deux,

C’était juste avec elle

Que j’étais amoureux ! »

 

Mais j’oublie quelque chose :

Qu’est-ce’ qui fait qu’un matin

On ne voit plus sa rose 

Au milieu du jardin ?

 

C’est sûr ! c’est un orage

Qui a dû lui faire’ peur…

Une’ rose’, c’est très volage 

Et l’orage est voleur !

 

Il faut faire’ quelque chose !

Mais quoi ? Je n’en sais rien !

(J’me dis ça, c’est ma prose

Au milieu du jardin…).

 

J’irai à ma fenêtre

Dès le petit matin

Pour la voir apparaître

Si jamais elle’ revient !

 

Et puis à ma lanterne

Au fond de mon tracas,

Si mon cœur est en berne,

Je mettrai de l’éclat !

 

J’enrichirai ma terre

Et tout refleurira !

Oui ! sous la bonne’ lumière

Où ma rose’ reviendra…

 

Elle’ sera bien contente

Et ravie avec ça !

Ma Starlette’ si charmante…

On n’imagine’ même’ pas !

 

La maison sera grande

Et pour voir sa valeur,

Il faudra qu’on attende

Un peu à l’intérieur…

 

Mais qu’importe d’attendre

Si ce n’est rien qu’un peu

Quand on a le cœur tendre 

Et s’il n’est jamais vieux !

 

Je sais ! J’ai une idée

Nouvelle’ comme un cadeau !

Pour changer les données,

Je change’rai de chapeau :

 

Je saurai tant de choses

Et puis j’en ferai tant

Que la plus belle’ des roses

En oublierait le temps !

 

Juste pour un sourire,

Un bonheur sans chagrin,

C’est « meilleur que le pire »

Et ça fait du chemin…

 

« Une’ Starlette amoureuse

Et le sort plus joyeux ! » :

La recette est heureuse

Et le tableau, précieux !

 

Il ne reste qu’une ombre

A tirer du décor :

Une absence… oooh ! si sombre !

De ma Scarlett encore !

 

C’est la vie qui s’arrête !

(Je suis meurtri ! flétri !)

Car ma vie sans Scarlett

Est un chemin tout gris !

 

Mais j’oublie quelque chose :

Qu’est-ce’ qui fait qu’un matin

On ne voit plus sa rose

Au milieu du jardin ?

 

C’est sûr ! c’est un orage

Qui a pu lui faire’ peur !

Une’ rose’, ça se ménage

Et l’orage est rageur !

 

« ‘Y’en a pas de plus belle…

Et, vu qu’‘y’en a pas deux,

Ce n’est rien que pour elle

Si je suis amoureux ! »

 

Sous mon habit de larmes,

Elle’ m’oublie aujourd’hui !

Elle a brisé le charme

Et moi, je suis banni !

 

Aussi, sur ma planète,

Ah ! Je n’sais pas comment…

Je cherche ma Starlette

Ailleurs… et même ici !

 

C’est pas que ça m’inquiète

(Même’ si j’en suis contrit…),

C’est ma vie qui s’arrête 

Et mon cœur est transi !

 

Non ! aucune’ pirouette

Ne me fait rebondir

Et quand la vie s’arrête,

Il nous reste à mourir !

 

Mais je sais quelque chose !

Est-il vrai qu’un matin,

Est-il vrai qu’après tout,

Sans débat et sans prose,

Lorsque tout paraît loin,

Lorsqu’on est loin de tout…

 

Bah ! on retrouve’ les roses…

 

A deux pas du jardin ?

 

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Publié le 21 Avril 2021

NE ME JUGEZ PAS...

Pensées Fraternelles…

 

« Qui suis-je, moi… pour te juger, toi ? »…

« Ce n’est pas moi que tu juges, c’est l’opinion que tu as de moi. »…

 

On a parfois tendance à juger… « les autres »… On les voit, parfois, comme à travers « une grosse loupe »… Alors qu’on se voit dans « un miroir de complaisance »… Cela arrive !

C’est la fameuse histoire de « la paille et la poutre »…

Pourtant, si je juge l’autre, je ne le juge que sur la connaissance partielle que je peux avoir de lui…

Or, chaque personne est semblable à un iceberg dont la partie cachée est la partie la plus importante… (C’est celle qu’on ne voit pas : celle où se trouvent les racines, le passif, les motivations profondes des pensées et des actes… qui correspondent à tout un parcours de vie… aux influences subies… Bien sûr, chacun a son libre-arbitre. Mais chacun peut aussi se tromper car l’erreur est humaine…)

 

Je n’ai donc qu’un champ de vision réduit sur autrui. Partiel !

Et mon point de vue est souvent partial !

 

De plus, je vois l’autre tel qu’il est aujourd’hui, avec le regard et la compréhension qui sont les miens aujourd’hui… Or, demain, mon regard et ma compréhension auront pu évoluer et la personne que je vois, sans doute aussi !

Je ne peux donc pas émettre une opinion définitive à son sujet.

Et je veux lui accorder cette chance essentielle : le droit à l’erreur et celui de la réparer et/ou de s’amender ! Même « in extremis »… !

 

En fait, je ne juge pas les acteurs, mais les actes… pas les « porteurs de pensées », mais leurs auteurs. Car les pensées (qu’on porte) sont souvent trompeuses et on les relaie parfois sans les avoir bien comprises… On n’en est pas toujours l’auteur, en effet… On est assez « pollué » par des clichés, des opinions publiques, des « idées reçues »… des savoirs et traditions erronés… etc.

Je ne blâme pas tant le fauteur que la faute.

Je ne juge pas qui est l’autre… ce qui m’est impossible. Je considère ce qu’il fait. Je lui accorde le crédit de « faire mieux », voire, de (se) « refaire »…

 

On devrait finalement garder à l’esprit, en toute chose, cet essentiel qui est aussi ce que l’Amour attend de nous :

 

« Ne fais pas à l’autre ce que tu ne voudrais pas qu’il te fasse ! » et…

« Fais pour lui ce que tu aimerais qu’il fasse pour toi ! »…

 

Ce qui revient à dire, en somme : « Aime ton prochain comme toi-même ! ».

 

 

 

Ne me jugez pas !

 

J’n’ai pas tout dit de moi

Et j’ai menti parfois

Pour cacher mes blessures :

Pour que ça vous rassure !

Qu’auriez-vous fait de mieux

Que de me plaindre un peu,

Si vous aviez tout su…

Qu’auriez-vous fait de plus ?

J’ai gagné, j’ai perdu ?

Ça n’vous aurait pas plu !

J’ai pris des trains en marche

Et j’ai raté des marches…

Vous n’savez pas, au pire,

Ce que j’ai dû souffrir !

 

Alors, ne jugez pas !

Ne me condamnez pas !

 

Que savez-vous de moi ?

Vous êtes’ trop loin pour ça !

Vous n’savez pas ma vie,

Mes regrets, mes envies…

Que voyez-vous d'ici

D’hier et d’aujourd’hui,

A part comme un miroir

Qui n’parle’ de moi nulle’ part ?

Qui parle’ de vous, sans doute…

Vous n’êtes’ pas sur ma route

Et vous n’êtes’ pas tombés

Où je me suis rele’vé,

Où j’ai pu m’écorcher

Sans vous avoir croisés.

 

Ne me condamnez pas !

Et ne me jugez pas !

 

La main tendue vers moi,

Tiens ! je n’la voyais pas

Quand j’étais là, pourtant,

Tout près de vous vraiment.

Vous avez laissé faire

Sans penser à l’enfer,

A l’envers de vos joies.

Vous ignoriez tout ça !

Regarder vers ailleurs

A deux pas du malheur,

Vous l’avez fait, souvent !

Je l’ai su tristement.

Que reste-t-il des peines

Qui ont été les miennes ?

 

Non ! ne me jugez pas !

Ne me condamnez pas !

 

Moi, je pensais à vous

Quand j’étais à genoux !

Je vous savais debout…

Sans distance, après tout !

J’ai pleuré, je l’avoue,

Juste assez loin de vous

Pour qu’assez de silence

Puisse’ masquer ma souffrance.

J’étais là, j’étais seul,

Aussi près d’un linceul

Que vous auriez porté mon deuil

En traversant mon seuil.

Mais vous n’êtes pas venus

Où j’vous ai attendus…

 

O ne me jugez pas !

Et ne me blâmez pas !

 

Vous n’savez rien de moi

Ou presque rien, je crois !

C’est pas si difficile

De mourir en exil,

Même’ si c’est pas facile

De se voir sans famille.

Où étaient mes amis

Quand mes jours étaient gris ?

Où étaient leurs regards

Quand mes nuits étaient noires ?

J’ai perdu ma mémoire ;

J’ai gardé tant d’espoirs…

C’est ici, aujourd’hui…

Que recommence’ ma vie !

 

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Publié le 3 Septembre 2020

A BLANCHE...

 A Blanche… (Reprise)

 

Tu as emporté loin d’ici

Un petit peu de notre vie

Et dans tes jolis yeux d’enfant,

Un reflet de printemps…

 

Petit espoir d’un autre temps,

Te souviens-tu de tes parents ?

Nous voulions te garder longtemps

Mais le monde est si grand !

 

Petit bonheur, tu es parti

Exister loin de notre vie.

Quand on repense à cet instant,

On a le cœur battant !

 

Vois-tu, le temps s’est écoulé

Où tu nous as tell’ment manqué !

Pourtant le long de ton silence,

Nous vivons ton absence.

 

Tu sais, tu nous as fait vieillir

De ne pas t’avoir vu grandir !

Mais dans nos plus beaux souvenirs

Renaîtra ton sourire.

 

Petite aurore’ de nos vingt ans

Qui brille encore au firmament,

J’ai voulu te chercher souvent

Mais le Ciel est trop grand !

 

Ma petite’ fille’, pas loin d’ici,

Un jour de bonheur t’a suivie.

Tu étais belle’ comme un printemps…

Si près du soleil, à présent !

 

Le temps qui nous prend des années

N’a pas pu te faire oublier !

Il nous reste assez d’espérance

Pour imaginer ta présence… 

 

Car dans nos rêves’ pas très lointains

Ton visage’ ne s’est pas éteint !

Que brille à nouveau le matin

Quand on a du chagrin !

 

Ma petite’ fée d’un seul printemps,

Tu n’es pas restée bien longtemps !

Mais dans les yeux de ta maman

Ton sourire a vingt ans !

 

Petit amour à l’infini,

Dans nos cœurs tu as bien grandi

Et pour te bercer tendrement,

Il nous reste le temps…

 

Du temps pour vivre et pour t’aimer,

Pour ne jamais, non ! jamais t’oublier !

Un temps pour passer le silence

A redessiner ton enfance.

 

Petite enfant,

Tu vis toujours dans nos mémoires

Et quand parfois les nuits sont noires,

Tu nous redonnes’ un peu l’espoir

De tes premiers regards.

 

Petite étoile au firmament,

Repose auprès de nos vingt ans !

Petit amour qui est parti

Respirer loin d’ici…

 

Petit bonheur du temps des fleurs,

On ne meurt plus où tu demeures !

Joli Trésor, à l’infini,

Ton écrin… c’est le Paradis ?

 

 

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Publié le 27 Août 2020

VOYAGE AU BOUT DE TA PEINE...

Voyage au bout de ta peine… (Reprise)

 

Si ta vie se déchire,

Si tes joies se consument,

O je t’en prie, ne quitte’ pas l’espoir !

Attends… ne pleure’ pas,

Ne pleure’ plus !

Demain revient bientôt qui séche’ra tes larmes,

Qui efface’ra ton amertume’… Demain revient déjà

Comme un astre radieux sur l’horizon des peines ;

Un chemin de promesse au seuil de l’avenir…

Et ne crains pas ce feu

Dont l’ambre vient parer les berges de la nuit…

Écoute’ ! le vent s’apaise’ là, sur les toits :

Le sommeil va tomber…

Tout douce’ment,

Comme un voile…

Écoute… O le bruisse’ment de tes rêves…

Un frisson d’organdi qui gonfle tes paupières’ humides

Laissant des perles’ à ton regard

Et quelques embruns sur ta joue.

Tu sais… les étoiles’ sont fidèles !

Elles’ te diront ce monde, au loin,

Qui n’a pas de frontières ;

Cet espace infini

Infiniment perdu dans tes nuits de saphir

Où le temps s’émerveille,

Où la neige céleste’ bat l’écume’ du silence

Quand le flot des pensées lentement s’abandonne

A des torrents de liberté !

Et tu verras les pluies de nacre,

Les bouquets d’allégresse’, de passion, de beauté

Sur un champ vaporeux que la chance illumine

Au bout du firmament…

Ces myriades de flammes’ empliront ton visage,

Épouse’ront ton cœur,

Où l’ineffable instant versera quelques braises

Comme un vivant diadème au-delà des ténèbres…

Puis viendra le baiser sublime

Et l’étreinte éperdue de l’aube…

Ton sourire ébloui,

Cristallin,

Frôle’ra ses miroirs diaphanes,

Éthérés comme un songe,

Comme un premier matin d’ivresse au fond des nues limpides

Irradiées de soleil.

Alors ne pleure’ pas…

Reste, il viendra bientôt ;

Ne pleure’ plus, ô petite âme !

Retiens le ciel, car il viendra te dire

Que ce feu brûle’ra toujours ;

Que la joie brûle’ra pour toi,

Encore !

Encore !

 

Comme au premier pas de ta vie.

 

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Publié le 19 Juin 2020

AU-DELÀ DES APPARENCES...

Juste au-delà des apparences…

 

(J’ai vu…

Des océans d’amour

Sous l’horizon trop lourd…)

 

Juste au-delà des apparences,

Où commence’ l’Invisible,

 

On peut découvrir la lumière

Sous une’ brise’ pure

Et, souvent, trouver la vie claire

Aux seuils que les nuits défigurent…

Aux seuils… que les nuits défigurent,

 

On peut accueillir la lumière,

 

Malgré les ombres qui nous criblent

Avec tant d’insolence !

 

J’ai vu s’ouvrir des fleurs

Au milieu des clairières

Comme’ sourire’ la douceur

Derrière un front de guerre…

 

Le bonheur aussi près

Que tenu à distance

Par le fil d’un regret

Ou d’un flot de violences…

 

J’ai vu tant de beauté

Pour tant d’indifférence ;

Des trésors de bonté

Couverts d’insignifiance…

 

Juste à travers un grand silence,

Je pense à l’indicible…

 

Comment se poser ou se taire,

Au-devant des murmures,

Afin d’accueillir le mystère

Des harmonies qui nous rassurent,

Des harmonies… qui nous rassurent ?

 

Comment se poser ou se taire

 

Dans le vacarme, oh ! si terrible,

Du mal et des souffrances ?

 

J’ai entendu le chant

D’un cœur qui bat pour vivre

Et qui se bat, pourtant,

Pour que la Vie soit libre :

 

J’écoute’ notre univers

Chanter de cent manières

Contre vents et revers…

Ou tant de murs de pierres…

 

J’aime… et je veux sans fin

Murmurer dans ce monde

Un simple et doux refrain,

Au cours des temps qui grondent !

 

Puisqu’en dépit de nos errances,

Naît la persévérance !

 

On n’a rien à dire ou à faire

Sans faute et sans rature…

Alors on avance’ sur la terre,

Malgré ses peurs et ses blessures…

Malgré ses peurs et ses blessures,

 

On avance’, sur la terre,

 

Dans le désir ou l’évidence

D’une intime Espérance…

 

Puisqu’en dépit de nos errances,

Juste au-delà des apparences,

 

Aussi fort qu’on y pense,

 

Pour l’univers immense,

 

L’Invisible est une’ Chance !

 

 

Juste encore un mot : le texte "Juste au-delà des apparences" est construit comme une "psalmodie"... Je m’en suis rendu compte après coup et j’ai repensé aux chants de Taizé. Il y a une parenté évidente avec ce texte... Quand j’écris l’"Invisible’ commence", j’exprime en fait qu’il est toujours là, en perpétuel commencement, d’où la formule répétitive du texte... Mais j’entends aussi qu’on n’a jamais fini d’approcher encore et encore cet Invisible... Le commencement dont je parle est juste une façon de dire qu’il existe un passage au delà-des apparences... Il ne signifie pas que l’invisible ne fait que commencer. Non. Mais seulement qu’on entre dans son espace, dans sa "dimension" lorsqu’on franchit un certain pas... C’est un peu comme si j’écrivais : au-delà d’une frontière, commence le désert ou la mer ou la forêt... C’est juste une façon de dire : voilà où je me situe... par rapport à tout cela... Et pour mon texte : "voilà où chacun peut se situer, à un moment ou un autre, par rapport à l’Invisible..." En revanche, je crois que cet Invisible dont je parle "fut, est et sera toujours". Il est intemporel... On l’aura compris...

 

 

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