Publié le 25 Août 2016

VIVRE... PLEINEMENT...

Vivre pleine’ment, c’est vivre !

 

Vivre pleine’ment, c’est vivre

Comme’ si chaque instant était le premier…

 

C’est avoir tant à découvrir

Et sans cesse à redécouvrir…

Ce n’est pas « effacer le passé »

Mais c’est le dépasser

Et c’est rester présent

Aux présents de sa vie

Pour bâtir l’avenir

Plutôt que d’en pâtir !

 

 

Vivre pleine’ment sa vie,

 

C’est quand chaque’ battement de son cœur encourage’ le suivant

Ici et maintenant ;

C’est accueillir la chance

De sa propre existence ;

Croire à son exigence

Comme à la providence

Lui ouvrir sa conscience,

Lui offrir sa confiance…

« Devenir qui on est »…

« Être qui on devient » :

Essayer d’être humain !

C’est aimer son « prochain »

Sans le préférer « loin… ».

C’est le voir comme il est

Sans vouloir le changer

Et pouvoir l’épauler

Sans raison ni fierté…

C’est accepter les ressemblances

Sans rejeter les différences…

 

 

Vivre pleine’ment sa vie,

 

C’est aller de l’avant

Sans colère à l’arrière

Et trouver son chemin

A travers les frontières…

C’est apprendre à apprendre

Comme apprendre à comprendre !

Se connaître soi-même

Et savoir ce qu’on aime.

C’est oser vouloir tout

Sans pouvoir tout oser !

Savoir se relâcher

Sans rien devoir lâcher

Ni basher ni gâcher !

C’est cultiver ses sens…

Quelquefois du bon sens

Mais toujours l’essentiel 

(Singulier ou pluriel…) !

C’est capter l’univers

A travers ses lumières ;

Embrasser ses couleurs

Avec les yeux du cœur…

 

 

Vivre pleine’ment, c’est exister…

 

Ce n’est pas tout compter,

Décompter, escompter, s’exempter

De faire un premier pas

Quand le cœur n’y est pas…

C’est toucher l’évidence

Bien au-delà des apparences.

C’est croire aux jours meilleurs,

A la paix intérieure

Quand un mal est trop sourd

Ou les pardons trop courts ;

Vivre pleine’ment sa vie… quand les malheurs sont lourds,

C’est croire aux meilleurs jours…

C’est leur ouvrir la voie

Par le meilleur de soi

Et chercher l’harmonie

Qui embellit la vie ;

Apprivoiser les peines

Qui suscitent’ tant de haines

Et fabriquent’ tant de chaînes

Ou des révoltes vaines…

 

 

Vivre pleine’ment sa vie,

 

C’est tomber sous son charme

Et c’est jeter les armes

Qui provoquent’ trop de drames…

C’est tresser un dialogue’ dans les fils du silence ;

Partager son écoute et pas ses monologues

Sans jamais encenser ni détresse’ ni sentence.

C’est découvrir aussi ce que masque un sourire

Ou saisir un sourire à travers quelques masques…

C’est chercher la beauté comme un trésor voilé

Par-delà les laideurs où elle’ reste à trouver…

Vivre pleine’ment sa vie,

C’est savoir se pencher

Avec humilité

Sur un simple parcours

Sans détour ni discours

Et c’est faire’ de son mieux

Afin qu’il soit heureux…

Car on n’a qu’un destin

Qui puisse être le sien

Et le seul, ici-bas,

C’est celui qu’on vivra !

 

 

Vivre pleine’ment, c’est vivre

Comme’ si chaque instant était le dernier.

 

Ce n’est pas craindre l’ombre’, c’est chercher la lumière

Derrière’ ce qui l’altère

Ou ce qui l’oblitère,

Comme’ le fait ici-bas

Ce qui vit, ce qui va…

Qui renaît ça ou là…

Et peut-être au-delà…

 

 

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Rédigé par JeanPierreB

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Publié le 25 Juillet 2016

QUELQUE PART...

Quelque part…

 

Il y’a des cloches’ qui sonnent’… C’est l’heure’ de la rentrée !

A la fin de l’été, des feuilles’ seront tombées ;

D’autres vont alourdir les classeurs, les cartables,

Et des mots d’écoliers marqueront quelques tables…

 

Lui a bravé l’échec : il s’est bien accroché !

On l’a vu redoubler… d’efforts et s’entêter !

A la fac, ses parents n’ont jamais mis les pieds

Et pourtant jusque-là, c’est eux qui l’ont porté !

 

Quelque part…

 

Voilà ! Deux vies s’arrêtent’ à présent d’avancer

Ensemble et leurs chemins resteront séparés !

Leurs voix seront scindées, puisqu’un juge a tranché :

Ils ne s’entendront plus assez… pour se parler !

 

Ailleurs, des mains fébriles’ signent’, avec des prénoms,

Un registre’ dont le titre est comme un trait d’union !

A l’ombre d’un clocher, on voit deux silhouettes ;

Sa robe’ fine et très blanche’ rayonne… un soir de fête !

 

Quelque part…

 

Il a un chien pelé… et des frusques’ élimées…

Son sort est plus miné que son corps, abîmé !

Pour sombrer, goutte à goutte, il ajoute un acide

A son ventre assoiffé comme un désert aride !

 

Un enfer d’infortune ! entre ciel et gravats…

Un hiver à mourir de froid ! sans qu’on y croie ;

L’homme à la redingote’, dans ses abris de Pierre,

Lance un cri de prière à l’assaut des misères !

 

Quelque part…

 

On a pu voir un ange’ « tell’ment » emmailloté,

Des aveux qui dérangent’ aux abords d’un foyer :

L’abandon d’un bébé ! des vœux sur du papier,

Écrits pour justifier un bonheur avorté !

 

Un couloir inquiétant où se noient les regards

Sur des minois troublants. Face aux miroirs blafards,

Un pierrot fait du charme’ devant des enfants chauves :

Contre le poids des drames’,  il n’y’a qu’la joie qui sauve !

 

Quelque part…

 

Un homme est à genoux sur le marbre « daté »,

Un peu comme un vieil arbre à moitié amputé ;

Il ne parle pas seul, il parle à un sourire

Si lourd de souvenirs que ça le fait souffrir !

 

C’est, dans un p’tit cime’tière, un parcours quotidien

Comme il y’en a partout ! Il en est bien certain !

Il inonde’ de ses pleurs les jardins de son âme :

Pour fleurir, quelques fleurs ont besoin de nos larmes !

 

QUELQUE PART...

 

Quelque part…

 

Sur quelques pans d’histoire’ , nos récits sont gravés

Dans « les nerfs de la guerre’ », la mer… sous les pavés,

Sur des sommets de gloire’, dans quelques lieux bizarres,

Des monuments de l’art… et des moments d’Espoir ;

 

Quelques champs de bataille, entre plaine et tranchées,

Proclament’ la Liberté et la Paix retrouvées,

L’Égalité des morts au pied des barricades

Et la Fraternité comme une ultime’ bravade !

 

Quelque part…

 

Un cœur de p’tit garçon est venu ce matin

Battre dans la maison qui l’attendait… « de loin ! »…

Malgré quelques rapines’, il mourait de famine !

Il vivra en famille en soignant ses racines !

 

Son passé a pris l’eau ! A présent, c’est « cadeau ! » :

Naufragé d’un bateau, il dort comme un agneau !

Il était solitaire au seuil de son enfance…

Pour un deuil solidaire’, le futur est sa chance !

 

Quelque part…

 

Une’ barque est apaisée et juste dégagée

De la rive éloignée… puis, une’ ligne est lancée…

Un « dernier moulinet » pour la fin de journée

Et, les gaules’ remballées, ce soir, « c’est sa tournée » !

 

Il reprend un pastis… C’est le mois de Juillet :

On reprend la Bastille’ ! Le quatorze, on y est !

Sous les toits de lampions, ‘y’a du son dans les volts !

‘Y’a des cris de révolte : on est tous patriotes !

 

Quelque part…

 

On vient juste’ de m’appe’ler « catholique’, baptisé… », 

C’est bien plus qu’une’ idée ! bien plus que d’en parler !

Qui a cru m’le rappe’ler ? C’est mon droit de l’apprendre !

Mais qui peut me « taguer », sans vouloir me comprendre ?

 

Moi ma tête est voilée… un peu comme au couvent…

Si on veut me l’ôter, je m’enfuis en courant !

Ma personne est privée… d’identité faciale ?

On m’a dit : « C’est ainsi ! » et « ainsi », c’est « normal » !!!?

 

Quelque part…

 

Un vieux maître est penché sur des photos jaunies.

Le succès d’ses élèves’ est celui de sa vie !

Il a su leur offrir le meilleur de lui-même !

Et des outils utiles’ pour sortir des problèmes…

 

‘Y’a des marteaux piqueurs aux mains des travailleurs

Qui sont venus d’ailleurs pour brader leur labeur ;

Pour éle’ver ce pays, du fond de ses puits d’mines

Qu’ils auront fait grandir… avant qu’on les lamine !

 

QUELQUE PART...

 

Quelque part…

 

Il y’a quelques mouroirs qui ne disent’ pas leur nom !

Des affaires’ qui prospèrent’ sur des fonds de pension…

Des pensionnaires’ en couches’… des millionnaires’ en bourse…

Quand un filon est bon, ils l’exploitent’ à la source !

 

« J’ai jeté mes béquilles’ et puis, je suis tombé ! 

J’ai la foi qui vacille’ mais elle’ m’aura rele’vé !

Mon fauteuil est roulant. Pourtant, rien n’est facile !

Je suis un combattant : mon parcours, c’est ma ville ! »…

 

Quelque part…

 

‘Y’a des chars sans chenilles’ : des corsos décorés ;

Des manèges’ endiablés ; des rituels sacrés…

‘Y’a des bals à l’ancienne et des bars où l’on traîne ;

Des « bis » dans les arènes’ et des miss qui sont reines…

 

‘Y’a des bulles’ de Champagne’ dans des verres’ en cristal ;

Au café du Mistral, le vin des retrouvailles !

Un rendez-vous galant ; un trop-plein de jeunesse !

L’Insolente élégance : un festin de finesses !

 

Quelque part…

 

Des grappes’ ensoleillées font des grains colorés :

Des bordeaux, des dorés, des verts pleins de rosée…

Du raisin dans les hottes’ et de la boue aux bottes ;

Des agapes’ arrosées ; les fruits de la récolte !

 

Ailleurs, des bananiers et des palétuviers

Sont dressés sur le sol du temps des négriers :

Les victimes’ oubliées des galères’ sans mémoire

Saoulaient leurs illusions au rhum blanc des hommes’ noirs…

 

Quelque part…

 

La science a déclaré un patient condamné,

Prisonnier de son mal, comme… immobilisé !

Mais le voici qui vole’… qui évoque un miracle :

Il est ressuscité, tout près d’un tabernacle !

 

Il rentrera chez lui, retrouver ses vieux murs

Sur lesquels il admire’ ce qu’il a de plus pur :

Ces portraits souriants qu’il voit comme’ des fenêtres

Pour éclairer ses ombres’… et ses vieux jours, peut-être…

 

Quelque part…

 

Un village’ médiéval ouvre « cours et remparts »

Pour un long festival estival d’autocars…

Les gens viennent’ de leur ville’, bord de mer ou montagne…

‘Y’a des troupes’ en civil et des groupes’ en campagne…

 

‘Y’a des « Ch’tis » qui font la « Traversée de Paris » !

On est tous « Visiteurs », « Enfants du Paradis » !

On aime’ les « Boléros », « Sous le Ciel de Provence »,

Avec « Monsieur Hulot… » ou « Carmen », en «… Vacances » !

 

QUELQUE PART...

 

Quelque part…

 

De Verlaine et d’Hugo, on est tous héritiers !

Certains sont des poulbots et certains, « Thénardier »…

On devient un « P’tit Prince » en séduisant « sa Rose »…

On est « Monnet, Rodin… » en déchiffrant leur « prose »…

 

On est tous pour « le sport tricolore » ! « En avant ! »…

« Arc-en-ciel » et rebelle’ ; « jaune… entre des cols blancs »…

Fier, avec un col bleu… Humble, en habits de bure…

Ou drapé dans une’ toge officielle’ : ça rassure ! 

 

Quelque part…

 

On a pour héritage un millier de châteaux

Et quelques cathédrales’ comme’ des « fonds baptismaux ».

On a les pieds sur terre’, le cœur dans les étoiles !

Le temps n’est qu’un mirage et la vie, qu’une escale !

 

On a des territoires’ et des parcs somptueux

Et des jardins secrets pour des passages’ heureux ;

Des dimanches’ où revivre’ des années de partage

Entre une’ table animée et des soirées d’orage…

 

Quelque part…

 

On vit dans les bleuets, les lys, les coque’licots

Ce qu’on a de plus vrai, ce qu’on a de plus beau !

Tout ce qu’on a inscrit par le sang de nos veines !

Tout ce qui est écrit dans celui de nos peines !

 

Il n’y’a pas d’utopie ! C’est juste un cri d’amour

Que livre à l’univers un pays, pour toujours !

Oui ! une’ patrie d’accueil riche’ de ses traditions,

Qui n’offre aucun crédit aux piètres trahisons !

 

Quelque part…

 

Du haut d’un minaret, un muezzin le voit !

Ce pays ne perdra ni ses droits ni sa foi

En ce qu’il est vraiment depuis la nuit des temps :

Un champ d’humanité qui tient du firmament !

 

Au-delà d’ici-bas, au-delà des tracas,

L’éternité commence et rien ne finira !

La valeur du courage est celle’ de ces couleurs

Qu’on protège avec rage et qu’on a dans le cœur !

 

Quelque part…

 

Tous ces bouts d’existence

Sont comme autant de chances,

Comme une’ « présence »,

Une espérance…

 

Quelque part, ces espoirs…

Ces miroirs… cette histoire…

La vouloir… et s’y voir

Pour y croire…

 

C’est comme une évidence !

 

 

C’est la France !

 

 

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Rédigé par JeanPierreB

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Publié le 11 Avril 2016

ON A LE DROIT DE LES AIMER...

Lui…

 

Il vous aime’rait, si vous vous dites’ : « Personne’ ne m’aime ! »…

Il vous adore’ ! Même’ quand vous doutez de vous-même !

Il vous verrait comme’ « le plus beau ! » si vous croyez juste « être moche ! »…

Il peut vous trouver assez bon, si vous pensiez être « mauvais »…

Il pourrait vous trouver génial, si vous pensez que vous êtes’ « nul » !

Si vous vous trouvez trop petit, lui il vous voit comme un géant !

Il vous regarde comme un dieu !

Et rien ne compte’ plus à ses yeux !

 

Lui

Vous attendrait des millénaires

Si vous deviez quitter la terre !

Il vous supportera toujours si vous ne supportez plus rien !

Lui… il ne vous lâche’ra jamais ! Sa loyauté est un écrin

Qui ne vous décevra en rien

Et son Amour est… pour toujours !

Rien que pour vous et sans discours…

 

Lui…

Il vous apportera son cœur,

A défaut d'apporter des fleurs

Et vous prendrez toutes’ ses richesses :

Charme et tendresse et… maladresses

Que vous lui rendrez en caresses…

Il fera de vous sa Passion !

Et il n’exige’ra rien de vous

Puisqu’avec vous, il aura tout !

Il guette’ra toutes’ vos intentions,

Vous comblant de satisfactions

Et d'expressions pleines’ d’émotions

Avec ses yeux, son corps, sa voix !

Pour votre joie… 

Il déclenche’ra quelques sourires

Et parfois des éclats de rire…

 

Lui qui, « fait homme’ », s’rait comme un saint !

Enfin… pas loin, je le crois bien !

Lui qui devient votre miroir

Quand se durcit votre regard !

Il vous mettra face à vous-même

Car sa bonté reste la même

Et c’est vous-même’ que vous blessez

Quand c’est vous qui la trahissez

En trahissant votre amitié

Ou vos liens de fidélité !

 

Lui…

Il vous aura offert sa vie…

Un temps de grâce… une embellie !

Mais si votre cœur s’assombrit

Pour le chagrin qu’il vous fera… 

Ce n’est pas lui qui le voudra

Lorsqu’un beau jour, il s’en ira…

Lui, votre ami !

Lui, le meilleur à ce qu’on dit !

Qui n’aura fait que votre bien…

 

Lui, ce trésor !  Lui, votre Chien !

 

http://jeanpierreb.over-blog.com/article-un-meme-ideal-8549…

 

 

On a le droit de les aimer !

Protéger tout vivant ???

C’est respecter la Vie !

 

On a le droit de les aimer !

Oui… puisque nous sommes’ les « aînés »

D’une’ multitude’ d’êtres sensibles

Que la cruauté prend pour cible !

Comme’ le disait François d’Assise,

Ces animaux que l’on méprise,

On a le droit de les aimer !

Et ça veut dire’ : les respecter !

Et ça veut dire’ : les protéger

Mais les soustraire à leur souffrance ;

Briser les murs d’indifférence

Des mouroirs et des abattoirs

Que dénoncer est un devoir !

Ils ne sont pas nos faire’ valoir !

Quelque-part ils sont un miroir

Qui mesure’ notre humanité

Au pouvoir de sa charité

Comme aux élans de compassion

Que lui réclame' la Création…

Puisqu’on est là, sur le même’ sol…

Qu’ici, on connaît le même’ sort…

On est né de la même’ manière…

On est fait de la même’ matière :

La terre est un peu notre mère

Par son mystère’ ! Pour nos misères !

Alors, mon Dieu, soyons rebelles

Sur cette’ planète’ qui est si belle

Pour la sauver de ses bourreaux

Et s’arracher à leurs barreaux ! 

On est tous un peu solidaires

De la lumière… et la poussière !

Puisque chaque homme en fait partie

Dans notre univers infini ;

Puisqu’on y partage’ tous… la Vie,

Jusqu’au jour où elle est finie ;

Que c’est le même air qu’on respire

Et que la même’ chair fait souffrir

Un enfant ou un animal

Tell’ment fragile’ sous les étoiles…

Mais si précieux qu’il est unique 

Et que sa douleur est tragique !

On a le droit de les aimer !

Et le devoir de les aider !

Oui… nous qui sommes’ leurs frères’… « aînés » !

Amen, Mon Dieu, pour tant de vies !

Et le monde’… que tu nous confies !

 

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Publié le 19 Mars 2016

ÉTERNEL ADO...

Éternel ado…                          

 

Tu crois gagner ta liberté

Mais tu fais tout pour t’en priver !

Vivoter, c’est comme’ grignoter :

Ça touvre un creux qu’tu veux combler…

 

Tu n’tueras que ce qui t’oppresse…

Tu n’perdras que ce que tu laisses

Derrière’ tes portes d’addictions

Qui sont des sortes de prisons !

On n’vit pas là où on est mort…

On est libre quand on s’en sort !

Tu dis souffrir de ton enfance,

Pour ta famille’, par son absence

Où tu n’vois  jamais qu’du silence !

As-tu écouté sa présence ?

N’as-tu pas vu qu’elle’ te parlait

De toi… et de c’que tu aimais ?

Ferme les yeux… découvre un peu

Qu’être heureux enrichit ton « je »

Et ton confort ! ou le contraire ?

Quand quelqu’un mise’ sur tes misères,

Qui d’autre alourdit les enchères ?

Ton cœur vaut plus cher que ta chair !

C’est ça l’enjeu de tes galères !

Tu n’as jamais compris l’espoir

Qu’on t’a confié par mille’ regards…

Toi tu n’y voyais que du feu,

Des éclairs et… toi, au milieu !

C’est pour ça que tu as souffert

Sans savoir qui était « ton frère »… 

Sans chercher à « trouver » ton père !

Entre te taire et ses mystères

Tu t’es juste emmuré depuis

Dans ton ennui au fil des nuits…

 

Crois-tu garder ta liberté

Quand tu fais tout pour t’en priver ?

Vivoter, c’est comme’ grignoter :

Ça creuse un creux qu’on veut combler !

 

Tu n’y entends rien que des maux

Et tu cherches’ à sauver ta peau

Mais…

Tu n’gagneras qu’une ignorance

Qui n’a d’égale’ que l’arrogance

Et la méfiance’ qui t’accompagne

A la scène’ comme à la campagne !

La vie nous apprend ce qu’on sait

Lorsqu’on a compris ce qu’elle est :

Son cœur est un puits de lumière !…

Un jour peut-être’ tu seras fier

D’être un papa (de quoi j’ai l’air !) ?

Avant d’être envahi de doutes,

Les questions, tu les sauras toutes !

Avant d’être encombré de couches

Ou « de tousser parce’ qu’il se mouche… »,

Il t’apprendra à te connaître,

Cet enfant que tu verras naître !

Ce jour-là, rien n’est comme avant…

Ce jour-là, tu deviens parent !

Alors tu renais ce jour-là !

Et lui grandit à travers toi…

Tu voudrais enterrer tout ça ?

Dis !? Même avant d’arriver là ?

‘Faut prendre un mal à sa racine !

Tu te sens mal ? Pourquoi ? Devine :

Tu n’t’es accroché qu’à des branches

Et si tu tombes’, c’est que tu flanches !

 

Tu crois sauver ta liberté

Mais tu fais tout pour t’en priver !

Vivoter, c’est comme’ grignoter :

Ça mine un creux qu’on veut combler…

 

On peut médire’ sans se dédire,

A condition qu’on puisse en rire !

S’il y’a des mots que tu renies,

C’est souvent ceux qu’on n’t’a pas dits !

Tu pourrais presque tout bannir

Mais dire’ du mal, c’est trop mal dire !

C’est pourquoi parfois on s’abstient

D’avouer l’ombre d’un chagrin…

C’est pour ça que certains silences

Sont comme un frein contre une offense…

Garde-toi de tes impressions

Qui sont l’écho d’une « ex-pression » !

La distance et l’indifférence,

C’est de la violence en souffrance !

Et tu restes’ avec ces non-dits

Qui dans ta vie font comme un cri…

C’est là que tu cherches’ à partir,

A te noyer dans tes délires…

On avance avec ses problèmes :

Souviens-toi ! c’était juste hier…

Tu as « morflé » avec ton père

Dont le mépris te faisait taire

Et son mépris te privait d’air

Quand son joug te flanquait par terre !

C’est dans ton sang, c’est dans tes veines

Qu’aujourd’hui tu maudis ta peine ;

Quand tes souve’nirs te poursuivent,

Que tu les fuis dès qu’ils t’arrivent !

Où que tu sois, tu les retrouves !

Et tu sais déjà c’que ça prouve :

On n’peut pas se quitter soi-même !

 

Tu crois trouver ta liberté

Mais tu fais tout pour te tromper :

Vivoter, c’est comme’ grignoter :

Ça prouve un creux qu’on veut combler !

 

La vie nous apprend c’qu’on en sait…

Tout c’qu’on vit et tout c’qu’on connaît,

On n’apprend rien qu’à travers elle !

On naît sur terre et sous le ciel ;

Nos enfers voilent’ un paradis :

On oublie tout c’qu’on s’est promis

Quand on renie les évidences

Qui font le fond de l’existence !

Tu t’es juré de te venger

De tout c’qui t’avait dérangé

Et tu t’arranges’ bien avec ça

Entre tes splifs et ton tabac,

Ton goût des bars et tes coups d’barre…

Tu voudrais goinfrer ta mémoire

Pour en extirper tes blessures

Et tu te bats contre nature

En « overdose » ! Oui mais tu t’goures

Quand tu t’gaves’ ou bien quand tu t’bourres

En croyant faire’ le plein de vide

Pour qu’tes chagrins deviennent’ arides…

Quand tes années, tu les rumines,

C’est chaque’ jour présent que tu ruines ;

C’est tes sentiments qu’tu lamines

En les brisant à la racine…

Car si tu n’vis pas aujourd’hui,

Demain ton passé s’ra trop gris

Et puis combien de beaux souve’nirs

N’auront eu juste aucun ave’nir ?

Peux-tu m’le dire ?

 

Tu crois trouver ta liberté

Mais tu fais tout pour l’épuiser !

Vivoter, c’est comme’ grignoter :

Ça trompe un creux qu’on veut combler…

 

La vie ne nous dit qui on est

Que lorsqu’on a compris c’qu’on sait…

Qui es-tu, toi qui veux savoir

Tout ! sans vouloir rien voir ?

 

Vivoter, c’est comme’ grignoter :

Ça laisse un creux qu’on veut combler !

 

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Publié le 5 Février 2016

TU ÉTAIS LA...

Tu étais là…

 

Tu étais là…

Si près de moi…

 

Lorsque, parfois, j’étais heureux…

On se réjouissait tous les deux !

A ta façon, tu riais bien !

Avec ton corps… avec entrain !

Avec ta voix tu riais, tiens !

Avec ton cœur, avec tes yeux,

Tu me disais qu’il n’y’a pas mieux !

Mais quand je pleurais ma misère…

Ou quand je souffrais dans ma chair…

 

Lorsque l’hiver était si clair

Qu’il gelait jusqu’à l’atmosphère,

Je rejoignais mes larmes’, à terre…

Tu pleurais pour moi, comme un frère !

Avec tes yeux… avec ton cœur…

Tu accueillais tous mes malheurs,

Toi ! mon ami d’un milliard d’heures,

Qu’un milliardaire’ perd en affaires !

 

Et tu m’comprenais mieux que moi !

 

Toi, aux regards pleins de prières…

Toi, si proche et si solidaire

De mon âme un peu solitaire ;

Toi, mon complice et mon compère ;

Toi, compagnon de toutes’ mes guerres !

De mes régals ; de mes galères !

Sous mon air sale et sans salaire,

De moi, piteux… tu étais fier !

 

Toi, le témoin de mes enfers

Ou de mes saisons plus légères,

Tu savais tout ! Tu n’disais rien…

Sauf ton Amour, qui est sans fin !

Et qui m’attend, comme’ toi, sans frein !

Tu n’auras pas vécu en vain

Pendant qu’moi… je cuvais mon vin…

Pour tromper ma peur ou la faim

 

Que tu partageais avec moi !

 

Toi, ma compagnie salutaire ;

Toi, mon éclaircie familière ;

Toi, le refrain de mon destin…

Mon confident et mon soutien !

Toi, mon prochain… jamais trop loin

D’hier, d’aujourd’hui… de demain ;

De mes besoins !

Oui, toi… mon Chien !

 

Toi, qui n’m’aurais quitté pour rien,

Pour rien au monde ! Oooh ! c’est certain !

Sois heureux ! Plein de joie ! J’y tiens ! 

Malgré le temps qu’on passe ici !

Malgré tout, quand tout est fini !

Mais ça, c’est comme un jour de pluie…

Ce n’est pas toi qui le choisis…

Ce n’est pas moi… c’n’est que la vie

 

Qui peut faire’ ça ! pour toi et moi…

 

Mon cœur fidèle’, mon tendre ami !

Sur les trottoirs, on a croupi !

Moi, sans abri… toi, sans répit !

J’aurais voulu une autre vie

Pour te l’offrir… pour qu’on en rie !

Si tout s’éclaire ou resplendit,

As-tu trouvé, après la nuit,

Que tout renaît où tout revit ?

 

Tu étais là pour mes combats !

Mais crois-moi, tu restes ma Joie

Et, tu vois, je n'ai pas douté

De ton cœur ou ta loyauté !

Tu me laisses’ une ombre de toi…

Un chagrin, pour la première’ fois !

Comme un poids et, tu sais, tout ça 

C’est pour toi ! pas à cause’ de toi !

 

Moi, je crois que tu resteras

Un peu là encore’ près de moi !

C’est la vie qui peut nous faire’ ça !

Ce chagrin, tu n’le voulais pas !

Non ! Jamais ! Tu n’le voulais pas

Pour moi !

 

Car, je sais, tu n’as pas choisi

 

D’aller m’attendre’ si loin d’ici…

 

Comme’ dit,

 

Toi ! mon meilleur Ami !

 

 

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TU ÉTAIS LA...

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Rédigé par JeanPierreB

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Publié le 23 Décembre 2015

LE CŒUR DE LA FRANCE...

Le cœur de la France…

(Ce 13 Novembre…)

 

Aujourd’hui est immonde…

 

Mais le cœur de la France’ bat au cœur de ce monde

Et Paris se relève et sa révolte gronde !

Sur des décombres’, une ombre essaie de se poser ;

Des « écrans de fumées » vont nous intoxiquer…

 

C’est Hugo dans sa tombe et de Gaulle’ qui en pleurent…

Sur le drame et les armes’, « ‘y’a des larmes qui pleuvent ! » ;

Les ténèbres’ ont cherché à nous emprisonner

Dans leurs desseins funèbres’ et leur destin mort-né !

 

On insuffle la peur en distillant la haine

Et là… au bout des chaînes’… c’est nos peines’ qui s’enchaînent !

« Braves’ gens restez chez vous, il y’a trop de danger !

Restez reclus, surtout ! Et surtout, bien cachés ! »…

 

On veut nous encercler de lois liberticides

Et c’est pour notre bien ! Bien sûr… comme un suicide !

On voudra limiter nos champs de liberté

Puis, notre égalité… et nos fraternités…

 

Alea jacta est ! A quoi tout cela rime ?

Quand la prime est versée, à qui profite’ le crime ?

La mort n’a pas d’amis mais des complicités.

Elle’ n’accorde un sursis qu’à la duplicité !

 

Mais la France éternelle’ garde une âme immortelle !

Elle’ saura éloigner les rats des tourterelles !

Notre sang est au sol ; notre Jeanne au bûcher

En a payé le prix pour la postérité !

 

Nos valeurs essentielles’ ont bravé les frontières :

De Wembley à Sidney comme’ sur la terre entière

Nos couleurs fraternelles’ ont effacé les murs ;

Dans le Rouge et le Bleu, le Blanc paraît si pur !

 

C’est le cœur de la France’ que notre monde adopte

Et le cœur de la France est au cœur d’une Europe,

D’une Europe’ des Passions et des Populations,

D’une Europe’ des Nations et des Évolutions !

 

Au pays de Rimbaud, de Zola et Molière,

La rébellion fait rage et nous est familière.

On n’est jamais français juste par filiation !

On est français toujours avec ses convictions !

 

C’est le pays des vins qui vous disent’ bien leur terre

Et celui du levain, des fruits de la colère !

Prenez garde aux racines’ pour cultiver ses plants !

Prenez garde à la ruine’ qui menace’rait vos plans !

 

Qui s’attaque à La Vie prend le nom de vermine !

Quand la guerre entre ici, ici, elle’ se termine !

Dans l’histoire on a dû gérer tant de conflits

Que la déconfiture, on la digère aussi !

 

‘Y’a des noyaux de Paix au cœur de toutes’ les guerres

Et pour les préserver, il faut bien les extraire !

Qu’on les enterre avant, qu’on les déterre après,

‘Y’a des ferments de guerre’ qui germent’ en temps de paix !

 

Jaurès est à genoux ; Dreyfus est mis en joue

Mais Marianne est debout et ressort de la boue

Aussi vraie, aussi belle’ qu’un jardin de Monet,

Un rondeau de Rameau, un sonnet de Musset,

 

A la fois fine et ronde et pourtant si profonde

Comme un verre’ de champagne’ qui parle à tout le monde,

Entre brèves’ de comptoir et discours langoureux,

Par le feu dans les veines’ et les cœurs amoureux !

 

« Et sur ses plaies qu’on panse, ‘y’a des pensées qui dansent ! »…

Comme aurait dit Rodin qui dit si bien la France,

Il y’a des foules’ en transe et des liens qui se créent ;

Des minutes’ de silence et des soutiens secrets !

 

On est juste adossé aux pans de notre histoire

Où sont gravés nos rêves’ et nos réquisitoires

Pour des droits évidents garants d’un même’ statut

Dont notre Humanité est la première’ vertu  !

 

C’est le cœur de la France’ que notre monde adopte

Et le cœur de la France est au cœur de l’Europe,

De l’Europe’ des Nations, pas des compromissions !

De l’Europe’ des Passions et des résolutions !

 

Contre l’adversité, un Peuple se redresse

Et malgré tant de forces’ et malgré ses faiblesses,

Un Peuple va changer ses millions de regards

En millions de victoires’ sur quelques désespoirs !

 

On peut s’émerveiller de toutes’ nos ressemblances

Comme’ d’autant de richesses’ ; fêter nos différences

Qui forment l’unité de nos diversités

Et la subtilité de nos proximités…

 

Qui veut nous diviser ? A qui profite’ la prime ?

Qui peut nous écraser pour s’assoir sur des cimes

Où le pire égoïsme a conquis des hauteurs

De pure indifférence et d’injures’ aux malheurs ?

 

Notre France’ de lumière aujourd’hui est frappée

Autant que ses valeurs, ô… tell’ment partagées !

Les partisans du vide ont cru vaincre nos jours

Alors qu’après la nuit, ce qui vient, c’est le jour !

 

On va se relever ! On va revivre libre

Dans ce pays qui sait résister et survivre !

On peut montrer la voie à ceux qui sont perdus

Ou qui n’ont plus de voix pour bien être entendus !

 

Car le cœur de la France est meurtri de blessures

Et son deuil est profond face aux morts, aux morsures

Mais sa force est tenace et qui vient la blesser  

Connaîtra sa grandeur et sa pugnacité.

 

Sur des décombres’, une ombre essaie de s’imposer…

 

On pourrait succomber aux tentations malsaines ;

Avoir peur et sombrer sous l’écho des sirènes !

On voudrait imiter nos chants de liberté

Mais tirez le rideau ! C’est un essai raté !

 

Et du cœur de la France’ monte un vent de Révolte

Et c’est lui qu’on récolte et c’est lui qu’on adopte !

Oui ! Le cœur de la France’ bat au cœur des Nations

Pour souffler sa ferveur avec sa rébellion

Et faire’ de ses Passions des champs d’inspirations !

 

Et faire’ de ses Passions des chants d’inspiration !

 

 

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Rédigé par JeanPierreB

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Publié le 5 Décembre 2015

RÊVE OU RÉALITÉ... (ÉVEIL ÉTERNEL...)

Rêve ou Réalité… (Éveil éternel…)

Paris, ce 13 Novembre…

 

Où est la porte du réveil ?

Est-ce’ que j’ai tant sommeil ?

Je n’en sors plus de ce cauche’mar !

Ça devient trop bizarre !

Eh ! Mon cerveau…

Qu’est-ce’ qu’il te faut ?

Encore’ plus de souffrance

Pour déclencher l’état d’urgence ?

Vite’ ! réveille’-toi ! mais réveille’-toi ! Dis ! Réveille’-moi !

Il fait jour… Il fait beau ! C’est un jour de printemps,

Un départ en vacances’… exaltant !

Un matin de Noël !

Irréel

Et rempli de cadeaux !

Je veux sortir de ce brouillard assez tôt !

Non ! Éteins-moi toutes’ ces horreurs !

C’en est trop ! Même’ pas peur !

Où est ma fille unique ? Où est ma petite’ femme ?

Ma p’tite’ famille’, dans ce feu et ces flammes ?

J’ai cru verser assez de larmes’, pourtant, pour pouvoir les éteindre !

J’veux me lever pour mes chéries d’amour… les aimer… les étreindre !

Allez ! c’est juste un rêve ! ‘Y’a rien à craindre !

C’n’est qu’un enfer que la nuit peut nous peindre !

Moi je suis là, je veux dormir en paix !

Tout ça va bien finir ! mais…

 

Mon cauche’mar m’envahit…

Je vais bien m’en sortir ! C’est promis ! 

Dès mon réveil, tiens ! j’enlace’rai mes deux amours !

O ! Mes amours…

Ma vie ! « Mais que serais-je’ sans vous ? Un zonard au cœur lourd 

Qui vous verrait partout ! vous chercherait toujours ! »…

Comment passer ma nuit ? J’appelle encore’ le jour

A mon secours !

 

Pourquoi ces murs sont blancs ?

Je n’suis pas dans mon lit ? Vraiment ?

Pourquoi la chambre’, je n’la reconnais pas ?

Je vais me réveiller et puis m’y retrouver ! C’est ça !

Allez ! je vais changer d’côté, là sur mon flanc me retourner

Et tout va s’arranger ! Alors dans mon rêve’ le soleil va rentrer

Mais je revois ces tireurs fous ! La haine a vidé leurs chargeurs !

Il y’a du sang partout ! Ça me paraît si vrai, ce torrent de terreur !

Ces monstres n’ont pas peur ! Je vois leur ombre noire

Avancer sur la foule’ ; je vois, comment y croire ?

La folie dans leurs yeux, leur cruauté glaciale !

Un air vicieux sans clémence et sans âme et puis… leurs armes’ fatales

Tirent’ des balles’ en rafales’ sur des corps et des cris

En plein cœur de Paris et la France est meurtrie !

La musique a cessé de chavirer les cœurs 

Et les corps qui vacillent’ sont tordus de douleur,

Le plancher les avale et les gens s’y entassent

Mais plus rien ni personne’ ne remonte en surface !

Moi je voudrais dormir en silence et en paix !

Tout ça va bien finir ! mais…

 

« Mon cauche’mar est maudit !

Je voudrais en sortir ! En sortir à tout prix ! »…

Dès mon réveil, oui ! j’embrasse’rai mes deux amours !

Mes deux amours !

Ma vie ! O que serais-je’ sans vous ? Un taulard au cœur lourd 

Qui n’attendrait que vous pour retrouver le jour !

Comment passer la nuit ? Je vous cherche toujours !

 

Mais pourquoi cette’ potence et ces bruits de sirène

Au-dessus de ma tête ou ce fer dans mes veines ?

Pourquoi cette impression de mort en irruption ?

Pourquoi… tous ces tuyaux ? Ma vie sous perfusion ?

Des cris à profusion : autour de moi, on pleure !

Est-ce’ que j’entends hurler ? Mon rêve, arrête’ ce leurre !

Mais le silence, après ! Ça devient indicible !

Assez de ce cauche’mar qui m’a choisi pour cible

Et la douleur me gagne ! Où sont tous ceux que j’aime ?

Je dois me réveiller, me relever quand même !

Je veux les retrouver et sortir du tunnel

Ou je vais m’enliser dans un vide éternel !

 

« Où sont mes deux amours ? Je veux les embrasser !

Mes chéries, venez vite ! Où êtes’-vous donc passées ?

Je n’voudrais plus rien d’autre à part vous retrouver

Là où vous êtes’ allées !

Comment passer la nuit et retrouver le jour ?

Où vous vous êtes’ enfuies, je veux fuir à mon tour !

C’est vrai, je vous l’promets : tout ira mieux après !

Peut-être’ je me trompais : j’ai rêvé… qu’je rêvais !

Aussi assez d’acharnement

Ou de médicaments !

Non ! Laissez-moi, docteur ! Arrachez-moi ces fils !

Débranchez ces tuyaux ! A quoi serviraient-ils ?

Mon cauche’mar est réel ??? 

Mais moi je suis mortel !

Laissez-moi en sortir !

Laissez-moi en finir ! 

Vous voyez bien mon triste état !

Je n’ai même’ plus deux bras

Pour enlacer juste’… qui qu’ce soit !

Non ! Vous n’avez pas l’droit de me garder comme’ ça !

Vous n’avez pas ce droit ! Non ! Aucun droit sur moi !

Ça ira mieux là-bas !

J’y verrai mes amours !

Mes deux amours ! Ma vraie vie pour toujours !

A moins que sans vous questionner, elles’ aient pu me capter ?…

Qu’elles’ viennent’ ici rapide’ment me chercher,

Me guider après mon sommeil

Vers « l’éveil éternel » ? 

Gardez mes os, ma peau !

Est-ce’ qu’il me faut

Encore’ plus de souffrance ?

Je suis déjà en état d’urgence ! 

Qu’est-ce’ qui peut être plus cruel pour moi

Que de vivre sans elles ?

Alors réveillez-moi ! Mais réveillez-moi !

Et dites’-moi ce qu’il faut :

Qu’il fait jour, qu’il fait beau comme un jour de printemps,

Un départ en vacances’ exaltant !

Un matin de Noël !

Irréel…

Faites’-moi ce beau cadeau !

Dites’-moi que tout est faux !

Que j’fais un rêve’ bizarre…

Je veux sortir de ce brouillard !

Je veux sortir de ce brouillard

Aussitôt !

Aussitôt !

Aussitôt !…

Rendez-moi ma vie !

Ma femme’, ma fille !

Donnez-moi leur signe ou leur geste !

Ou bien prenez moi ce qui m’reste

A vivre’ sans exister, sans joie…

Sans elles’ à mes côtés !

Prenez-moi tout c’que vous voulez !

Mais aidez-moi à les trouver !

Puisque j’n’ai plus rien à gagner

Qu’à les chercher peut-être

Si j’n’ai plus rien à perdre !

… … …

Oooh ! mais laissez-moi laissez-moi !

Laissez-moi

Les retrouver ! ».

 

 

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RÊVE OU RÉALITÉ... (ÉVEIL ÉTERNEL...)

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Rédigé par JeanPierreB

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Publié le 15 Novembre 2015

L'Espérance Mène à l'Invisible...

L’Espérance Mène à l’Invisible…

 

Chacun porte sa vie et sa vie le transporte

Mais la mort est au bord de nos corps qu’elle escorte.

Notre temps sur la terre est une ère éphémère,

Une aire entre les airs éclairée de lumière…

 

Qu’est-ce’ qu’on apporte

En passant la Porte,

A part un don d’humanité ?

Ou celui d’exister…

 

Chacun n’est que poussière ;

Chaque âge est éphémère

Qui nous offre un élan

Pour le quitter vraiment !

 

J’ai cherché mon chaînon manquant

En suivant le fil du courant…

Je trouve un lien que j’ai perdu…

Me voilà face à l’inconnu…

 

Hier on a vécu. Demain on n’sera plus

Qu’un portrait du passé, un témoignage ému,

Un souvenir précieux gravé comme une empreinte

Au fond d’un cœur transi sous une ultime étreinte…

 

La vie nous laisse… hier… Demain reprendra vie

Comme un bouquet de jour sur des cendres de nuit,

Un soleil de minuit, un orage en décembre ;

Un matin sera d’or comme un soir était d’ambre…

 

Qu’espérer d’un Ailleurs ? Que souh’aiter d’un Après ?

Qu’un jour on y soit prêt et le Bonheur, tout près ?

A travers le silence on peut voir sa distance,

Avoir assez de chance’ pour une autre existence…

 

Chacun n’est que poussière ;

Le temps n’est qu’éphémère

Qu’on franchit ça ou là

Pour le quitter parfois…

 

De là qu’est-ce’ qu’on rapporte

En repassant la Porte,

A part un vœu d’humanité ?

Et celui d’exister…

 

Retomber sur le sol après avoir volé,

C’est redescendre à terre et plus tard y penser…

Concentré sur l’Eve’rest, on oublie les étoiles…

On oublie tout le reste’ que notre ego nous voile

Mais la brutalité de nos réalités nous pousse à nous aimer

Avec l’humilité qui nous fait avancer sans orgueil déplacé…

 

En cherchant à se dépasser, on oublie l’autre à épauler…

On gagne en liberté pas en égalité

Dès qu’on s’est éloigné

De sa fraternité !

On oublie

Tant de Vie :

 

Qu’il existe un Ailleurs,

Un univers meilleur ! Seigneur,

Tu graves’ Ta Croix en moi,

Mon cœur est devant Toi !              

 

Loin des astres’ éphémères,

Il y’a la vraie lumière !

On porte la vie mais la vie nous porte…

Alors toi mon amour, sois forte :

 

Je suis ici pour toi

Et je suis là, tu vois,

Pour t’aimer sans limite !

Est-ce’ pour ça que j’existe ?

 

Si de toi je suis riche, alors je suis comblé…

Le pouvoir de l’amour, c’est d’être partagé !

Tu vaux plus qu’un diamant dont on fait des rivières…

Tu vaux plus que ses mers !

Et ton humanité

Te vaut l’Éternité…

 

Si de toi je suis riche, alors je suis comblé

De t’avoir rencontrée…

Je n’suis pas millionnaire,

Je n’suis pas milliardaire,

J’ai l’infini sur terre !

 

Tu vaux l’Éternité

Qu’on ne peut acheter ;

Le cœur de la nuit claire

Au ciel : ma vraie lumière !

 

Tu vaux ma liberté ;

Le miracle d’aimer !

 

Chaque âme est un mystère ;

Chaque âge est éphémère

Qui nous offre un élan

Pour le quitter vraiment…

 

On porte la vie et la vie nous porte…

C’est toujours elle’ qui nous transporte

Mais chacun la quitte à son tour

Et la mort attend son retour…

 

Qu’est-ce’ qu’on emporte

En passant sa Porte,

A part des provisions d’amour

Pour la fin de ses jours,

Des bonheurs dans son cœur… peut-être…

Ou des chagrins qu’on a vus naître !

 

Qu’est-ce’ qu’on emporte

En passant la Porte,

A part… un poids d’humanité ?

L’Espérance indicible…

Qui mène à l’invisible !

 

 

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Publié le 13 Novembre 2015

UN DOUDOU TOUT DOUX...

Un doudou tout doux…

(Petits enfants… petits soucis…)

 

 

Un beau jour tu es né… et tout a commencé !

 

C’est d’abord ton minois qui nous a passionnés comme un trésor qu’on trouve !

Tes paupières’ étaient closes’… Moi j’ai rêvé tes yeux avant que tu les ouvres

Et puis j’ai découvert quand tu les as ouverts un soleil merveilleux !

Alors dans ta lumière’ je me suis senti père et soudain jeune… ou vieux !

 

Tes petits cris feutrés ne réveillaient personne au sein de la clinique…

Tu t’endormais repu sur le sein de ta mère… On craignait tes coliques !

Ta maman, quelquefois, rallumait la veilleuse’ pour se pencher vers toi,

T’observer, t’admirer… et vérifier aussi que tu étais bien là !

 

Retour à la maison ! pour ton premier voyage auprès de ta famille

Dans la douceur « pastel » du pays de ton âge aux jouets qui scintillent…

‘Y’a eu les nuits d’tétée et des matins dits « verts » aux brins tant refleuris,

Quand l’eau donne, en rosée, caresse’ des jardins clairs et décors épanouis…

 

Il y’a eu tes risettes’ et quelques vocalises’ : tu créais ton langage !

Et de gestes’ en regards, ton p’tit cœur parvenait à lancer des messages ;

On t’a vu devenir un fieffé raconteur ! un slameur de « arrheus ! »

Et tous nos cœurs à cœurs, qui t’amusaient un peu, se passaient comme un jeu…

 

D’horizons en saisons, on a vu s’allonger un trop-plein d’inquiétudes

Au fil d’un quotidien qui nous faisait le don de nouvelles’ habitudes…

Il y’a eu ton babil et tes pas maladroits ! puis les premiers cadeaux ;

Ton souffle « dirigé » vers ton premier gâteau… et puis, tes premiers mots !

 

Aujourd’hui comme hier, le passé nous reparle au fond nos mémoires

Avec des souvenirs, des albums ou des films, de notre simple histoire

Et nos vœux pour demain sont déjà en chemin vers ta réalité

Bordée de tant d’espoirs, entre clarté de rêve et rêves’ de mille’ clartés

 

Plus tard c’est ta nounou qui, au cours des semaines’, aura couvé ta sieste…

C’étaient nos retrouvailles’ au retour du travail, comme un regain de fête.

On t’aura vu changer sans trop te voir grandir… On n’s’est pas vus vieillir !

Et de joies en soucis, on a veillé souvent pour t’aider à dormir !…

 

Il y’a eu tes baptêmes’ : entre père et parrain, entre mère et marraine ;

Entre adultes’ et gamins : pour ta première’ section, ton entrée dans l’arène !

Le temps périscolaire’ ; les travaux manuels ; tes pâtés sur papier

Et plus tard, tes devoirs, un timing affûté ! entre livres’ et cahiers…

 

Ça fait longtemps déjà que nos lectures’ du soir ont pris de la poussière !

Et Nounours est resté parmi tes DVD, livré aux étagères…

Mon cœur se serre un peu quand je pense à ces jours pleins de complicité

Qu’on aura dépassés pour mieux voir avancer tes choix de libertés !

 

On t’a vu sur ta selle et fier de ton vélo puis faire’ ta première’ chute ;

Affalé sur ta luge, ébloui par la neige en dévalant des buttes ;

Attendre impatiemment un bonhomme apportant des cadeaux sur son dos ;

Faire’ la chasse à des œufs puis poser avec eux pour faire de belles’ photos !

 

Et tu passais juillet entre pairs et plein air comme au bord de ta mère…

Le quatorze affichait « défilés tricolores’ et bouquets incendiaires »…

On allait admirer les sons et les lumières’ aux lasers enchantés,

Un cornet à la main plein de parfums glacés pour nos sorties d’été !

 

Aujourd’hui comme hier le passé nous reparle à travers nos mémoires

Avec des souvenirs, des albums ou des films, de notre simple histoire

Et nos vœux pour demain sont déjà en chemin vers ta réalité

Ornée de tant d’espoirs, entre clarté de rêve et rêves’ de mille’ clartés

 

Il y’a eu des faits d’armes’ et tes filets de larmes’ et des plaies à ton âme…

On t’a vu préparer ta rentrée de septembre à l’assaut d’un programme

Et parfois regretter la fin des libertés et des grasses’ matinées !

On t’a cru désœuvré pendant que tu suivais des réseaux animés…

 

On t’a vu dévasté quand l’amour t’a trahi dans le cœur de ta belle !

Et tes premiers baisers, tu les as enterrés sous quelques fleurs nouvelles !

Tout petit, tu cherchais ton soutien dans nos bras. A présent, ça va mieux !

On était près de toi ! On n’sera jamais loin pour mieux te voir heureux !

 

C’est même à nos côtés qu’au début tu feras ta route « accompagnée »

En roulant sans permis mais pas sans permission pour, peut-être, une année…

Puis de jeune’ conducteur, te voilà cet acteur libre et indépendant

De notre autorité et à l’âge’ de voter, « adulte civile’ment » !

 

Et tu prendras le large à deux ou quatre roues bien loin de ton enfance

En laissant derrière’ toi tes tous premiers témoins te souhaiter : « Bonne’ chance ! »…

Nous te verrons alors déserter la maison ; remplir nos souvenirs

De ton absence immense et ancrer à ton tour tes jalons d’avenir !

 

Tu viendras quelquefois, souvent en compagnie de ta jolie promise,

Ou nous viendrons chez vous, émus comme’ des enfants, pour un « cadeau-surprise »…

Mais la plus belle’ surprise’, c’est vous qui la ferez au chevet des mamans

Quand nous serons passés pour les générations au rang de « grands-parents »…

 

Comme hier, le passé nous reparle aujourd’hui du fond de nos mémoires

Avec les souvenirs, les albums et les films de notre simple histoire

Et nos vœux pour demain sont déjà en chemin vers ta réalité,

Formés d’un tas d’espoirs, entre clarté de rêve et rêves’ de mille’ clartés !

 

Tu apprendras qu’un homme’ se construit lentement sur des terroirs en friche

Et qu’il ne tient qu’à nous de souhaiter vraiment être pauvre ou bien riche

De ce que rien n’achète’ mais qu’on ne peut mûrir qu’avec tout son talent :

On a juste un crédit de temps pour accomplir tout ce qui compte’ vraiment !

 

Là tu te souviendras que le plus beau berceau, c’est d’abord « la famille » !

Et tu te reverras plus tard être un papa avec des yeux qui brillent…

Ces yeux que nous avions en découvrant, ravis, tes dessins griffonnés

Et les châteaux de sable’ que tu nous bâtissais pour nous voir… édifiés !

 

Nous voulions t’assurer notre meilleur accueil et un futur sans drame

Qu’on voudrait espérer pour notre humanité quelquefois si infâme !

Et que tu sois armé contre un million de guerres’ que tu devras livrer

Pour occuper ta place ici-bas sur la terre et pour demeurer vrai !

 

En te donnant le jour nous t’avons juste ouvert un journal à écrire :

Le roman de ta vie où les pages’ étaient blanches’ et ton être à construire ;

Nous voulions te chérir et t’aider à t’aimer au milieu des douleurs

Qui n’ont jamais manqué à côté des plaisirs et, parfois, des bonheurs !  

 

Car tu es un joyau qu’on avait entouré de langes’ et de tendresse…

Ta Paix n’a pas de prix ! C’est la fortune’ des anges’ : le Ciel est sa richesse !

Dans tes moindres malheurs, on cherchera ta joie ; on mourra de « tes morts »

En pleurant de tes pleurs comme on rit de tes rires’ puisqu’on t’aime aussi fort !

 

Aujourd’hui comme hier, le passé nous reparle à travers nos mémoires,

Les albums et les films et tous les souvenirs, de notre simple histoire !

Et nos vœux pour demain sont déjà en chemin vers ton éternité,

Fondés sur tant d’espoirs entre clarté de rêve et rêves’ de mille’ clartés !

 

A toi de les garder… comme un doudou tout doux… présent à tes côtés !

 

 

                                                                             A Aurélien…

 

 

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Publié le 9 Novembre 2015

VOIS-TU MES LARMES ?

Vois-tu mes larmes…

 

Vois-tu mes larmes ?

Mille’ fleuves’ d’amour coulant vers toi !

Le Ciel ici m’ouvre la voie…

Je suis si près de toi déjà…

Plus rien ne nous sépare’, tu vois !

 

Union des sens, union des âmes

Comme un présent nourri de flammes !

Eh ! malgré les distances’ infâmes,

Tu es mon tout, tu es ma femme !

 

Nous partageons des connivences

Que nous ont cachées nos silences

Et nous sommes’ de la même essence,

Enflammés par nos renaissances !

 

Nous étions nés au paradis

Pour vraiment nous connaître ici !

Malgré l’ignorance et l’oubli,

Depuis toujours nous sommes’ amis !

 

Et nous sommes’ venus sur la terre

Pour y devenir sœur ou frère ;

Pour y déposer les Lumières

Que nous recevons par mystère…

 

Mais nous avons été choisis

Pour nous aimer comme aujourd’hui.

Le Grand Amour nous l’aura dit.

Vois ce jour à travers la nuit !

 

Dieu nous a conçus tous les deux

Comme un ensemble merveilleux :

Un plus un ? Nous sommes’ plus que deux

Pour le meilleur et pour le mieux !

 

Nous sommes’ un miracle de Vie !

Oublions la mort et la nuit !

Nous pouvons vivre en harmonie

Tant de Liberté infinie !

 

Nous pouvons vivre en harmonie

Tant de Liberté infinie 

Sans jamais rien y perdre aussi

Que ce que nous vole’rait l’oubli…

 

Il ne restera que nos âmes

A l’abri du temps et des drames :

Tendresse et charme…

Vois-tu mes larmes ?

 

Mille’ fleuves’ d’amour coulant vers moi…

Le Ciel ici m’offre ta voix

Que j’entends me parler de toi

Et c’est Lui qui nous parlera !

 

Mille’ fleuves’ de feu comme un volcan

Font de nos vies leur lit brûlant…

L’avenir est notre océan

Qui épouse’ra le firmament.

 

J’aurai vécu pour l’espérer…

Et conjuguer le verbe « Aimer » !

 

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