RIEN... SANS L'AUTRE...
Publié le 15 Octobre 2012
Rien sans l’Autre…
J’ai compris… et je reste convaincu que
« les autres »
vous apportent ces sourires quotidiens
au tréfonds de votre existence,
indispensables comme une nourriture
qui alimente votre envie de vivre.
Sans eux, vous n’êtes plus rien…
Mieux, c’est avec eux que, simplement,
« vous êtes » !
Je vous cherchais dans un miroir
Qui n’renvoyait pas mon image…
Puis j’ai caressé du regard
Ce qui dessinait vos visages…
Ce cœur à cœur où je revis
Un trait d’union entre nos âmes,
C’est lui qui m’apprend qui je suis
Lorsque nos egos se désarment !
Il m’a fait signe de venir,
Celui que tout mon être appelle !
J’ai donné raison au désir
De nos effusions fraternelles !
J’ai passé des déserts lointains,
Des océans de solitude,
Pour aller rencontrer sa main
Par des trajets d’incertitudes…
Qui es-tu, toi qui attendais
De recevoir de mes nouvelles ?
Qui es-tu, toi que j’espérais…
Qui m’éclaires’ et me renouvelles ?
On n’est rien sans l’autre’… tu le sais…
On ne s’rait jamais qui on est !
On n’est rien sans l’autre’, c’est bien vrai !
Sans se chercher… on se perdrait !
C’est vraiment toi que je rejoins
Quand je me libère’, de moi-même,
Des liens qui m’emprisonnaient loin
Du lieu d’un amour où on s’aime !
Je suis ton frère au quotidien,
Je te ressemble’, même à distance,
Quand ton destin se mêle au mien
Dans ce qui fait nos ressemblances…
C’est notre part d’humanité
Qui nous tient debout sur la terre
Et celle’ de nos fraternités
Qui nous fait goûter ses lumières…
Alors, je te f’rai bon accueil :
Entre chez moi et prends ta place !
Non ! n’hésite’ pas, franchis mon seuil !
Ne reste pas juste « en surface » !
Je te reçois dans ma pudeur…
Tu sauras combien tu me combles :
Qu’il est doux d’être frère ou sœur,
Que s’ignorer serait un comble !
On n’est rien sans l’autre’, tu le sais…
On n’saurait même’ pas qui on est !
On n’est rien sans l’autre et, c’est vrai,
Sans y penser… on se perdrait !
On se voit mieux et tout est clair,
Simplement lorsqu’on se retrouve !
Et je repère’ mieux ta lumière
Pour peu que je te redécouvre
Et puis je sais que tu es bien
De mon peuple et de ma famille,
Que sans les autres’ on n’est plus rien
Que des passants qui s’éparpillent !
Je te ramène au fond de moi
Et je te garde en harmonie
Lorsque je « chemine » avec toi
Quelque part plus près que l’oubli !
Puisque tu existes pour moi
Où tu n’meurs pas : dans ma mémoire !
Et moi je me sens vraiment là
Comme un acteur de ton histoire…
C’est sûr’ment ça qui nous unit :
C’est la connivence infinie
De nos jours où le temps s’écrit
Dans ce qui fait le cœur d’une’ vie !
On n’est rien sans l’autre’, tu le sais…
On ne s’rait rien de qui on est…
On n’est rien sans l’autre’ ! C’est bien vrai
Qu’on se perdrait… sans rien gagner !
Restons des amis de toujours
Qui auront su ouvrir leur âme !
Accorde-moi d’être là pour
Les moments de joies ou de drames !
Accorde-moi au quotidien
Cette’ bienveillance’ très amicale
Qui fait que jamais presque rien
De moi ne te s’rait un scandale…
Moi je vois ta fraternité
Comme un trésor qui m’émerveille !
Elle’ m’a rendu ma liberté,
Sans avatars et sans pareille !
Et c’est par elle’ que je t’écris
Ces quelques mots que je t’adresse,
Comme’ c’est pour elle’ que je te dis
Mon affection et ma tendresse !
Toi mon frère’, ma sœur… mon ami(e) !
Je suis ton frère’ par ta présence
Et je vis d’être ton ami…
Mais qui serais-je’ par ton absence ?
On n’est rien sans l’autre’, tu le sais…
On ne s’rait jamais qui on est…
On n’est rien sans l’autre’, comme’ c’est vrai !
Sans s’y prêter, on se perdrait !
Et que ferais-je’ sans ta présence
Si tu n’existais pas ici ?
Mais que ferais-je’ de cette absence
Qu’un silence immense’ dans ma vie ?
J’ai passé des déserts lointains,
Des océans de solitude…
Pour aller rencontrer ta main,
Par des trajets d’incertitudes…
Tu m’as fait signe de venir
Oui ! toi ! que tout mon être appelle…
J’ai donné raison au désir
De cette’ communion fraternelle !
Ce cœur à cœur où je revis
Un trait d’union entre nos âmes,
C’est lui qui m’apprend qui je suis,
Lorsque nos egos se désarment !
Toi mon ami(e) pour qui je vis !
Toi, mon ami(e) par qui je suis
Juste une âme’ sœur et un ami,
Toi… mon frère… ici ! pour la vie !
On n’est rien sans l’autre’, tu le sais !
On ne s’rait pas celui qu’on est…
On n’est rien sans l’autre’… c’est si vrai !
Sans se trouver, on se perdrait !
Tu le sais, mon frère’, toi aussi !
Dans ce monde’-là, qui est le nôtre,
Tu le sais bien, ma sœur, ici…
Qu’on ne s’rait jamais rien sans l’autre !
Oui ! tu le sais comme’ tu le dis !
Comme’ tu le sais… car tu le vis !
Qu’on est des humains parmi d’autres…
Et qu’on n’est rien… rien ! « loin » de l’autre !
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