JE SAIS...

Publié le 21 Juin 2013

JE SAIS...

Je sais…

 

Aurais-je’ pu vivre assez loin d’elle

Un seul instant sans la chercher ?

Tout ce temps que j’ai traversé

Avant que son regard m’appelle,

 

C’était le temps de mon chagrin

Mais il était fait d’espérance

Et jusqu’au bout de son absence,

Il traçait déjà mon destin !

 

J’ai parcouru le monde entier

Avec mon cœur à lui donner,

Ouvert à tous les vents glacés,

Pour un matin la rencontrer ;

 

Je passais le clair de mes nuits

A l’ombre de ma nostalgie !

J’avais envie d’une autre vie !

Pourtant, j’en suis sûr aujourd’hui,

 

Aussi loin que le jour se lève

En regardant vers l’horizon,

La gorge écrasée d’émotion,

De notre passé qui s’achève…

 

Je sais qu’il est né quelque part

Un sentiment d’Amour intense,

Comme un sourire à notre enfance

Si merveilleux dans nos regards !

 

Moi je voulais rien qu’avec elle

Un univers plein de tendresse

Pour y consumer nos tristesses

Et que la vie nous soit plus belle

 

Mais l’espoir c’est suivre aujourd’hui

Les sentiers de la providence

Et c’est croire encore à la chance

Quand demain nous paraît trop gris !

 

Si le parcours est difficile

En nous obligeant à vieillir

Au moindre pas vers l’avenir

Et si le Bonheur est fragile,

 

Il nous faudrait éperdument

Rester « l’un dans l’autre » et fidèle

A nos souvenirs parallèles

Pour mieux apprivoiser le temps !

 

En se tournant vers l’horizon,

Ce qui demeure encore à voir

Peut s’enrichir de nos regards

Et de nos cœurs à l’unisson !

 

Je sais que nous pèse’ quelque part

Comme un soupçon d’évanescence,

Comme un regret de notre enfance

Dissimulé dans nos mémoires

 

Mais la douceur de nos désirs

A brisé nos peurs et nos doutes ;

En prenant sa main sur la route

J’ai compris pourquoi je respire :

 

Désormais mon cœur en dentelles

Infiniment baigné d’amour

Avec le sillage’ de mes jours

Me conduira sans cesse à elle :

 

Je n’aurais pas vécu loin d’elle

Un seul instant sans la chercher !

Tout ce temps que j’ai traversé

Avant que nos regards se mêlent,

 

Ce n’était rien de très précis,

Que la folie d’un feu de paille ;

C’était le temps des fiançailles,

De la jeunesse’… de l’utopie :

 

L’horizon que nos cœurs éclairent

N’est pas toujours celui qu’on voit

Où chacun croit toucher du doigt

Le secret d’une aube éphémère !

 

Pourtant si la moindre étincelle

Pouvait transformer en brasier

L’Amour que nous avons scellé

D’un présent qui se renouvelle,

 

Je sais qu’il réduirait bientôt

Toutes’ les pénombres de nos peines

Car dans le cours qui nous entraîne

Aucun jour ne sera plus beau,

 

De l’hiver au cœur de l’été,

Sous le soleil comme’ sous la pluie,

 

Que tous ceux-là dans notre vie

Où nous nous serons tant aimés…

 

Que tous ceux-là dans notre vie…

Où nous nous serons tant aimés !

 

 

Un-sourire-qui-fait-plaisir-a-voir_portrait_w674-copie-1.jpg   

 

     

Ton sourire s’accroche à mon cœur…

 

 

Ton sourire s’accroche à mon cœur

A mes pensées

Comme une étoile au bleu des nuits

Comme un frisson d’azur

Au premier jour qui naît…

L’avenir a ton visage

Et ta voix remplit ma vie

Sur un chemin dont les pierres

Ne sauront plus faire mal…

Vois-tu, là-bas

J’ai posé le bonheur pour toi,

Bien à l’abri du vent,

Sur un grand lit de roses…

Sur un grand lit de roses

Où nous viendrons glisser nos rêves

Quand nous aurons longtemps marché

Dans les nuages…

Et sous le cristal des ans

Tu me diras, demain,

Les mots que tu préfères :

J’en ferai un serment d’amour

Et de lumière

Pour qu’ils brillent à jamais

A jamais dans ta vie, mon ange !

Alors nous franchirons le ciel…

Puisque tes yeux m’ont dit,

Je crois,

Que j’ai raison de t’aimer !

 

 

Autre blog : http://jean-pierre-aimer.blogspot.fr/ 

 

JE SAIS...

Rédigé par JeanPierreB

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