POUR LA FEMME...
Publié le 8 Décembre 2012
Ma vie…
Moi, ma vie,
C’est mon regard posé sur toi,
C’est quand je te tiens dans mes bras ;
C’est ce grand soleil dans mon cœur…
Avec des larmes de bonheur…
Moi, ma vie,
C’est le regard que j’ai pour toi ;
C’est quand tu reviens dans mes bras…
Et c’est l’amour auquel je crois…
Si tu demeures’… auprès de moi…
Toi, la vie,
Tu me l’as fait trouver jolie…
Comme un soleil en plein minuit !
Car tu as fait chanter ma vie,
Malgré la tristesse ou la pluie…
Prends ma vie !
Notre temps commence aujourd’hui…
Entre le désir et l’envie…
Où chaque instant refait son nid
Et ce qu’on attend nous poursuit…
Tu sais bien…
Tous ces enfants que nous voulions
Pour éclairer notre maison…
C’étaient des cris dans notre cœur,
Pour étoiler notre bonheur !
C’est la vie !
Notre histoire avance aujourd’hui…
Notre destin fera son lit…
Entre nos rêves’ et nos envies,
Là, jusqu’au bout de notre vie…
… notre vie !…
Il faudra bien, pourtant, qu’un jour…
Vienne, oooh ! le sommeil de nos corps !
Mais que peut nous ôter la mort…
Si nous avons gardé l’amour ?
Tiens-moi bien !
Pour le chemin qui nous attend,
D’ici jusqu’à la fin des temps !
Et… veux-tu… le faire avec moi,
Pour aller bien plus loin, dis-moi ?
Prends ma main !
Car, jusqu’au bout de ce voyage,
Je voudrai chasser les nuages…
Je veux te donner ma tendresse,
Et te garder de la tristesse…
Moi, je veux faire’ chanter ta vie !
Car moi, ma vie, à l’infini,
C’est quand tu es bien dans mes bras…
Quand plus rien n’existe ici-bas…
Que cet amour auquel je crois…
Pour protéger notre bonheur !
Moi, ma vie,
C’est mon regard posé sur toi ;
C’est quand je te prends dans mes bras…
C’est ce grand soleil dans mon cœur…
Avec des larmes de bonheur…
Et moi, ma vie…
Comme un présent venu de là…
A l’infini, même au-delà…
Vois !… N’en doute’ pas !
Puisque ma vie…
C’est toujours toi !
Pour la Femme…
Pour la femme,
Au cœur d’enfant…
Pour l’enfant,
Au corps de femme…
Pour l’épouse,
Au cœur de mère…
Pour l’amour
Et la lumière !
Pour le cœur de nos « Je t’aime »
Et celui qu’on porte en soi…
Pour le cœur de mes poèmes
Et l’enfant qu’on n’aura pas…
Pour la femme,
Au cœur de mère…
Pour la Flamme
Et la lumière !
Pour le fruit
De notre amour…
Et notre Amour… pour la Vie…
Pour tout ça ! Et pour toujours !
Pour l’enfant qu’on n’aura pas…
Qui vivra dans mes poèmes…
Pour celui qu’on porte en soi,
Et le cœur de nos « Je t’aime »…
Pour le temps qu’on n’a pas eu…
Mais qui demeure’, devant nous…
Pour celui qu’on n’aura plus…
Qui subsiste en nous, malgré tout…
Je suis si heureux, déjà…
Lorsque tu comprends… tout ça !
Pour la femme
Et pour l’enfant ;
Pour l’épouse…
Et pour la mère…
Je suis si heureux, déjà !
Et je sais que Pierrot
N’aura plus le cœur gros !
Nous deux...
Je n’ai jamais connu de Bonheur plus serein
Que celui de te prendre, tendre, par la main.
Plus le temps passe, et plus l’on peut s’appartenir,
Unis, sans fin, pour le meilleur et pour le pire.
Si, vers notre horizon, l’avenir nous conduit,
Pour que dure, au futur, ce présent d’harmonie,
Je ne veux que ton cœur, où reposer le mien,
Pour t’aimer aujourd’hui, et pour t’aimer demain ;
Pour t’aimer aujourd’hui et pour t’aimer demain...
Aimer la vie que l’on vivra jusqu’à mourir,
Quand nos désirs auront rempli nos souvenirs
D’un amour aussi fort, qu’il ne peut disparaître
Même au-delà de nous, de l’univers, peut-être...
On n’a jamais fini de naître ou de renaître
De tant de morts que l’on s’inflige et de mal-être ;
Etre nous deux pourrait suffire à nous combler
De réconfort, de joie, de rire et de clarté ;
De réconfort, de joie, de rire et de clarté...
Et passera le temps, nous vieillirons ainsi,
Mon cœur contre le tien, le jour contre la nuit,
Puis nos yeux, un matin, ne se rouvriront pas,
Le jour se lèvera, nous ne serons plus là...
Si, vers notre horizon, l’avenir nous conduit,
Pour que dure, au futur, ce présent d’harmonie,
Je ne veux que ton cœur, où reposer le mien,
Pour t’aimer aujourd’hui, et pour t’aimer demain
D’un Amour infini ! Alors, nous serons loin !
Mais j’aurai murmuré ces mots, comme un baiser
Posé au creux d’un rêve, au fil de nos pensées,
« Je n’ai jamais connu de Bonheur plus serein
Que celui de t’avoir prise, un jour, par la main »...
Etre Nous Deux pouvait suffire à nous combler.
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